Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "laisser" du dictionnaire de français Littré

Si on savait qu'il [le roi de Prusse] m'a baisé un jour la main, toute maigre qu'elle est, pour me faire rester chez lui, on me pardonnerait de m'être laissé faire

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Richelieu, 10 octobre 1756)