Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "ému, ue" du dictionnaire de français Littré
Tantôt l'esprit ému d'une frayeur bien vive
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Étour. II, 14)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Quoi ! d'un juste courroux je suis ému contre elle ; C'est moi qui me viens plaindre, et c'est moi qu'on querelle | Mis. IV, 3 | ému, ue |
| D'un fort vilain soupçon je me sens l'âme émue | Sgan. VI | ému, ue |
| Il n'y a rien qu'on ne fasse avaler, lorsqu'on l'assaisonne en louanges | l'Av. I, 1 | en [1] |
| Autrement qu'en tuteur sa personne me touche | Éc. des mar. II, 3 | en [1] |
| Je la regarde en femme aux termes qu'elle en est | Éc. des f. III, 1 | en [1] |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Et je l'ai moins touché par ce que j'ai pu dire Qu'un chêne n'est ému du souffle d'un zéphire | ROTROU | Antig. V, 2 | ému, ue |
| Dans les airs mille cloches émues | BOILEAU | Sat. VI | ému, ue |
| Sais-tu pourquoi les airs Sont émus par les vents, rougis par les éclairs ? | DUCIS | Lear, III, 7 | ému, ue |
| J'étais à son exemple ému d'en faire autant | RÉGNIER | Sat. XII | ému, ue |
| Je vois le peuple ému pour prendre son parti | CORNEILLE | Poly. V, 1 | ému, ue |