Citation de CORNEILLE extraite de l'article "feu [1]" du dictionnaire de français Littré

Ton frère, je l'avoue, a beaucoup de mérite ; Mais souffre qu'envers lui cet éloge m'acquitte, Et ne m'entretiens plus des feux qu'il a pour moi

(Pierre CORNEILLE, la Place roy. I, 1)