Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "crier" du dictionnaire de français Littré
Tu ne me diras plus, toi qui toujours me cries, Que je gâte, en brouillon, toutes tes fourberies
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Étour. II, 14)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Pourquoi me criez-vous ? | Éc. des f. V, 4 | crier |
| Ô ciel ! m'auriez-vous fait un crime De cette insensibilité ? | Psyché, II, 4 | crime |
| D'un criminel d'État l'importante cassette | Tart. V, 6 | criminel, elle |
| Monsieur, ce sont des masques Qui portent des crincrins et des tambours de basques | Fâch. III, 5 | crincrin |
| Quoi ! je souffrirai, moi, qu'un cagot de critique Vienne usurper céans un pouvoir tyrannique | Tart. I, 1 | critique [2] |
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