Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "manus (in-)" du dictionnaire de français Littré
Une dame qui était tout émerveillée que je fusse assez fou pour faire encore des vers dans un âge où l'on ne doit dire que son in-manus
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Mme du Deffant, 24 déc. 1773)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Je puis protester que le marquis de Fénelon, son neveu [de Fénelon], ambassadeur, me les dit [des vers de Fénelon] à la Haie en 1741 ; il y avait dans la chambre un homme fort connu qui pourrait s'en souvenir ; c'est en présence du même homme que M. de Fénelon me montra le manuscrit original du Télémaque | Siècle de Louis XIV, Supplément, 3e part. | manuscrit, ite |
| Cette courtière était une maquignonne d'affaires, qui prêtait et empruntait sur gages | Polit. et législ. Essai probab. en fait de justice, 1re probabilité. | maquignon |
| Que diriez-vous si un marabout du mont Atlas.... | Dict. phil. Grâce, III | marabout [1] |
| Songez que Paris, qui n'est pas d'un dixième moins grand que Londres, n'était alors [dans l'antiquité] qu'une petite cité barbare ; Amsterdam n'était qu'un marais.... | Dial. 24 | marais |
| Quand la marâtre nature nous prive de la vue, elle peint les objets avec plus de force dans le cerveau | Lett. Mme du Deffant, 12 déc. 1768 | marâtre |
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