Une nation qui avait laissé mourir Frédégonde... : citation de MONTESQUIEU dans le dictionnaire de français Littré adapté du grand dictionnaire de la langue française d'Emile Littré

Citation de MONTESQUIEU extraite de l'article "froid, oide [1]" du dictionnaire de français Littré

(Charles-Louis de Secondat MONTESQUIEU, Esp. XXXI, 1)

Citation	Œuvre	Entrée
La mécanique a ses frottements qui changent ou arrêtent les effets de la théorie ; la politique a aussi les siens	Esp. XVII, 8	frottement
L'auteur [Lopez de Gama] avoue que c'est là-dessus [de ce que les indigènes d'Amérique mangeaient des limaçons, des cigales, des sauterelles] qu'on fonda le droit qui rendait les Américains esclaves des Espagnols, outre qu'ils fumaient du tabac et qu'ils ne se faisaient pas la barbe à l'espagnole	Esp. XV, 3	fumer [1]
Ils [les laquais enrichis] relèvent toutes les grandes maisons par le moyen de leurs filles, qui sont comme une espèce de fumier qui engraisse les terres montagneuses et arides	Lett. pers. 98	fumier
La fureur de la plupart des Français c'est d'avoir de l'esprit	Lett. pers. 66	fureur
Les hommes mêmes n'ont pas en Perse la gaieté qu'ont les Français	Lett. pers. 34	gaieté
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Citation	Auteur	Œuvre	Entrée
Des froids torrents de décembre Les champs sont partout noyés	BOILEAU	Ode sur Namur.	froid, oide [1]
J'ai senti ce beau corps tout froid entre mes bras	RACINE	Théb. V, 5	froid, oide [1]
Ils s'arrêtent non loin de ces tombeaux antiques Où des rois ses aïeux sont les froides reliques	RACINE	Phèdre, V, 6	froid, oide [1]
Et froide, gémissante et presque inanimée Aux pieds de son amant elle tombe pâmée	RACINE	ib.	froid, oide [1]
Le pays du monde le plus froid est le Spitzberg ; c'est une terre au 78e degré de latitude	BUFFON	Hist. nat. Théor. terr. Oeuv. t. II, p. 93, dans POUGENS.	froid, oide [1]