Citation de MARMONTEL extraite de l'article "estropier" du dictionnaire de français Littré
Voltaire dans ses derniers jours ne pouvait voir sans un véritable chagrin qu'on se permît ainsi d'estropier nos belles tragédies
(Jean-François MARMONTEL, Élém. littér. t. IX, p. 53, dans POUGENS)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Il s'établissait peu à peu parmi eux l'opinion que... Il s'établit dès ce jour entre eux la liaison la plus intime et en apparence la plus philosophique |
Cont, moraux, Scrup. |
établir |
Le duc de Biron, le marquis de Castries, et quelques autres du même étage composaient sa société |
Mém. IV |
étage |
Non, lui dit-elle, d'une voix presque éteinte, je n'accepte point ces présents, je pars |
Contes moraux, Soliman II |
éteint, einte |
Je suis l'ami et le disciple de Socrate ; et je crains bien que la haine qu'on a pour lui ne s'étende jusqu'à moi |
Cont. moraux, Alcibiade. |
étendre |
L'esprit est pour lui comme les éternuments qui vont venir et qui ne viennent jamais |
Cont. mor. Connaiss. |
éternument |
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