Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "cajolerie" du dictionnaire de français Littré
Voltaire m'écrase, il me persécute, peut-être me fera-t-il périr à la fin ; grande merveille, avec cent mille livres de rente, tant d'amis puissants à la cour, et tant de si basses cajoleries contre un pauvre homme dans mon état !
(Jean-Jacques ROUSSEAU, Lettr. Le Nieps, 8 févr. 1765)
Citation | Œuvre | Entrée |
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J'étais à l'étendage dans la chambre de la calandre | Prom. 4 | calandre [3] |
Mon sang est calciné, la fièvre me consume | Lettr. Peyrou, 6 avril 1765 | calciné, ée |
Un fusil de calibre et tout l'équipage d'un fantassin | Pol. 12 | calibre |
Ils calquent les modes françaises sur l'habit romain | Hél. II, 17 | calquer |
Autant vaut employer le babil à des sujets utiles qu'à battre sans raison la campagne | Hél. VI, 11 | campagne |
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