Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Votre père se moque ; et ce sont des chansons
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. II, 4)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "moquer (se)" du dictionnaire de français Littré
Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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On ne rit point du ridicule des gens qu'on ne connaît point ; voilà pourquoi M. de Mazarin disait qu'il ne se moquait jamais que de ses parents et de ses amis | VOLTAIRE | Lett. Mme du Deffant, 19 févr. 1766 | moquer (se) |
Des mystères sacrés hautement se moquait | CORNEILLE | Poly. III, 2 | moquer (se) |
Pour se moquer de leur religion [des Égyptiens], il [Cambyse] avait fait tuer le dieu Apis, c'est-à-dire le taureau sacré qu'ils adoraient sous ce nom | ROLLIN | Hist. anc. Oeuvr. t. V, p. 525, dans POUGENS | moquer (se) |
On commence à respecter très peu l'aventure de Curtius, qui referma un gouffre en se précipitant au fond lui et son cheval ; on se moque des boucliers descendus du ciel | VOLTAIRE | Mél. hist. Fragm. s. l'hist. art. XII | moquer (se) |
On se plaignait de l'envie en Grèce, on s'en plaignait à Rome, et je m'en moque quelquefois en France | VOLTAIRE | Lett. Chabanon, 4 juill. 1768 | moquer (se) |