Sa vie entière a été partagée entre son laboratoire et l'Académie de Berlin |
CONDORCET
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Margraaf. |
laboratoire |
Pardonnez-moi d'égayer un peu la noirceur que ma transplantation [à Berlin] répand dans mon âme |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 24 août 1750 |
noirceur |
Dieu veuille que quelque gelée ne me tue pas à Berlin, comme le froid de Stockholm tua Descartes ! |
VOLTAIRE
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Lett. Thiriot, 27 nov. 1736 |
tuer |
André Sigismond Margraaf, directeur de la classe de philosophie expérimentale dans l'Académie de Berlin |
CONDORCET
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Margraaf. |
directeur, trice |
La dernière surtout [question proposée par l'académie de Berlin] m'a paru bien étrange par son inintelligibilité |
D'ALEMBERT
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Lett. au roi de Prusse, 22 sept. 1777 |
inintelligibilité |
Il y a dix mille réfugiés français à Berlin, qui ont fait de cet endroit sauvage une ville opulente et superbe |
VOLTAIRE
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Frag. sur l'hist. XXVIII |
réfugié, ée |
Ce König [un mathématicien de Berlin] est amoureux d'un problème de géométrie, comme les anciens paladins de leurs dames |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 24 juill. 1752 |
paladin |
J'ai ce pays-ci [Berlin] en horreur ; mon paquet est tout fait ; j'ai envoyé tous mes effets hors du Brandebourg |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 15 mars 1753 |
paquet |
Vous serez plus fêté, plus honoré que tous nos ambassadeurs ; mais repassez par chez nous en revenant [de Berlin] |
VOLTAIRE
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Lett. d'Alemb. 1er mai 1763 |
repasser |
Savez-vous que le célèbre Margraaf, chimiste de Berlin, en a tiré [de la betterave] du véritable sucre et de la meilleure qualité ? |
BONNET
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Lett. div. Oeuv. t. XII, p. 126, dans POUGENS |
sucre |
Je suis obligé de m'excuser de mon voyage à Berlin auprès d'un coeur comme le vôtre....j'ai refusé au roi de Prusse deux jours de plus qu'il me demandait |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 6 janv. 1741 |
refuser |
[König] qui était à Lahaye, et qui, ne pouvant être pendu à Berlin, fut seulement déclaré faussaire et fripon géomètre avec toute la modération imaginable |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 24 juillet 1752 |
géomètre |
On n'a chaud en hiver que dans les pays froids ; vos petites cheminées de Paris, où l'on se rôtit les jambes pour avoir le dos gelé, ne valent pas nos poêles [de Berlin] |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 18 janv. 1752 |
rôtir |
Il y a quelque apparence qu'une certaine personne, qui avait voulu desservir M. de Valori à la cour de Berlin, a semé encore ce petit grain de zizanie |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argenson, 30 mars 1740 |
zizanie |
Afin que la cour de Turin, qui n'a pas voulu le retenir, et qui est pourtant fâchée de l'avoir perdu, ne s'imagine pas que M. de la Grange, en arrivant à Berlin, ait commencé par essuyer un dégoût apparent |
D'ALEMBERT
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Lett. au roi de Prusse, 12 sept. 1766 |
dégoût |
Lorsqu'à Berlin vous commençâtes à prendre ce vol immortel Devers la gloire où vous volâtes |
VOLTAIRE
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Ép. LV |
devers [1] |
Votre Majesté sait que toutes les lettres, et à plus forte raison les siennes, sont ouvertes peut-être en dix endroits depuis Berlin jusqu'à Paris |
D'ALEMBERT
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Lett. au roi de Pr. 30 janv. 1778 |
ouvrir |
Il y a deux de ces messieurs [du parlement de Paris] qui sont à Berlin ; ils ont désiré voir le roi de Prusse, et le roi n'y a consenti qu'après qu'ils ont assuré qu'ils n'avaient pas été d'avis de consulter la Sorbonne sur l'inoculation |
D'ALEMBERT
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Lett. à Voltaire, 8 déc. 1763 |
sorbonne |
Voltaire, de retour de Berlin, d'où il avait fait chasser le malheureux d'Arnaud, et où il n'avait pu tenir lui-même |
MARMONTEL
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Mém. v. |
tenir |
Berlin est un petit Paris : il y a de la médisance, de la tracasserie, des jalousies de femmes, des jalousies d'auteurs, et jusqu'à des brochures |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 12 sept. 1750 |
tracasserie |
Je ne puis trop conjurer Votre Majesté de faire rendre aux mânes de Voltaire, dans l'église catholique de Berlin, les honneurs funèbres que les Velches s'obstinent à lui refuser |
D'ALEMBERT
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Lett. au roi de Pr. 14 avr. 1781 |
funèbre |
Le marquis d'Argens vient d'imprimer à Berlin le discours de l'empereur Julien contre les Galiléens, discours à la vérité un peu faible, mais beaucoup plus faiblement réfuté par saint Cyrille |
VOLTAIRE
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Lett. de Bordes, 6 oct. 1764 |
faiblement |
Les ordres avaient été donnés au connétable Wrangel pour entrer dans les États de l'électeur de Brandebourg, et même pour aller droit à Berlin, qui n'est pas une place de grande défense |
PELLISSON
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Lett. hist. t. II, p. 211, dans POUGENS |
place |
Il [König] fit, l'année passée, le voyage de la Haye à Berlin, uniquement pour aller conférer avec Maupertuis sur une formule d'algèbre et sur une loi de la nature dont vous ne vous souciez guère |
VOLTAIRE
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Lett. Mme Denis, 24 juill. 1752 |
formule |
Il [M. de Voltaire] était parti [pour Berlin], après avoir combattu pendant plus de six mois contre toute sa famille et contre tous ses amis, qui le dissuadaient fortement de cette transplantation |
VOLTAIRE
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Comm. Oeuv. aut. Henr. |
transplantation |
Notre langue se parle à Vienne, à Berlin, à Stockholm, à Copenhague, à Moscou ; elle est la langue de l'Europe ; mais c'est grâce à nos bons livres, et non à la régularité de notre idiome |
VOLTAIRE
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Lett. Guyot, 7 août 1767 |
langue |
L'abandon total de Moscou ne coûta guère plus à obtenir que celui du moindre village ; là, comme à Vienne, Berlin et Madrid, les principaux nobles n'hésitèrent point à se retirer à notre approche ; car il semble que pour ceux-là rester serait trahir |
SÉGUR
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Hist. de Nap. VIII, 2 |
noble |
Ce n'est pas la première fois qu'il est question du satellite de Vénus, dont Votre Majesté me fait l'honneur de me parler, et sûrement l'Académie de Berlin ne l'ignore pas ; dès 1645 un mathématicien napolitain, nommé Fontana, prétendit avoir observé quatre fois ce satellite |
VOLTAIRE
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Lett. au roi de Pr. 3 nov. 1764 |
satellite |
Vous aurez de la peine à donner pour les couches de Mme la Dauphine un spectacle aussi noble et aussi galant que celui qu'on prépare à Berlin : un carrousel composé de quatre quadrilles nombreuses, carthaginoises, persanes, grecques et romaines, conduites par quatre princes |
VOLTAIRE
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Lett. à d'Argental, 7 août 1750 |
carthaginois, oise |
Vous aurez de la peine à donner, pour les couches de Mme la Dauphine, un spectacle aussi noble et aussi galant que celui qu'on prépare à Berlin : un carrousel composé de quatre quadrilles nombreuses, carthaginoises, persanes, grecques et romaines, conduites par quatre princes.... |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 7 août 1750 |
quadrille [1] |