Citations correspondant à « cantique » : 14 citations trouvées dans le Littré
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La même doctrine que dans le Cantique [livre des quiétistes] est établie dans le Moyen court ; et la différence qui se trouve entre ces deux livres, c'est que le Cantique va plus par saillies, et que l'autre va plus par principes BOSSUET Ét. d'orais. III, 16 saillie
Entonnez un cantique de louanges BOSSUET I, Ass. 3 entonner [2]
Ils commenceront à chanter le cantique céleste MASSILLON Jugement. cantique
Le peuple apprit par coeur ce divin cantique BOSSUET Hist. II, 3 coeur
Avec quelle reconnaissance il chantait le cantique de sa délivrance ! FLÉCHIER M. de Mont. cantique
Le premier [cantique] nous met devant les yeux le passage de la mer Rouge BOSSUET Hist. II, 3 oeil
Rousseau a, de son aveu même, séché souvent six mois sur les strophes d'un cantique GILBERT Lett. à M. Imbert. sécher
Le fanatique chantera un cantique juif à plein gosier, en faisant brûler des Juifs VOLTAIRE Jenni, 11 gosier
Le même cantique que nous avons chanté avec la milice céleste, dans le mystère de sa bienheureuse nativité BOURDALOUE Exhort. Crucif. et mort de J. C. t. II, p. 201 milice
Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps !... Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords ! ROUSSEAU J.-B. Odes, I, 2 résulter
Ce cantique portera contre eux un témoignage, qui vivra dans la bouche de leurs enfants sans qu'il puisse jamais être effacé SACY Bible, Deutéron. XXXI, 21 vivre [1]
Le chancelier le Tellier, digne père de Louvois, signa l'édit de sang qui proscrivit trois millions de citoyens, et, prêt à descendre dans le tombeau, se fit l'application sacrilége du cantique de Siméon DUCLOS Oeuvr. t. V, p. 187 proscrire
Alors le poëte [Milton], resté comme à la porte du berceau [où sont Adam et ève], entonne, à la face du firmament et du pôle chargé d'étoiles, un cantique à l'hymen ; il commence ce magnifique épithalame sans préparation, et par un mouvement inspiré CHATEAUBRIAND Génie, II, II, 3 épithalame
Comme le Cantique des cantiques et l'Ecclésiaste, c'est [le Livre de Job] un livre de littérature, un livre profane, où l'on ne trouve pas le langage religieux des autres parties de la Bible, et où Dieu n'est presque jamais nommé sous son nom sacré d'Iahvé DERENBOURG Journ. des Débats, 3 sept. 1876, 4e page, 3e col. iahve