Citations correspondant à « consonne » : 9 citations trouvées dans le Littré
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Quand le mot qui suit se commence par une consonne CORNEILLE Lexique, éd. Marty-Laveaux. commencer
Au XVIe siècle, lequel devant une consonne était prononcé lequé PALSGR. p. 62 lequel
La consonne d se prononce en donnant du bout de la langue au-dessus des dents d'en haut MOLIÈRE Bourg. gent. II, 6 prononcer
Cependant, même quand le mot commence par une consonne, la poésie peut préférer mol à mou : L'affront que m'eût fait ce mol consentement CORNEILLE Hor. III, 5 mou, molle [1]
Mais dans le XVIIe siècle, on s'en servait devant une consonne, et on le faisait de deux syllabes : Que j'aie peine aussi d'en sortir par après MOLIÈRE l'Étour. III, 5, 7 avoir [1]
Le mouillé faible de l'l, exprimé par ce caractère y, et dont nous avons fait une voyelle, parce qu'il est consonne vocale, est la plus délicate de toutes ses articulations MARMONTEL Elém. litt. Oeuv. t. VIII, p. 38, dans POUGENS mouillé, ée
Ci-gît maître Jobelin, Suppôt du pays latin.... Endoctriné de tout point Sur la virgule, le point, L'u voyelle et l'u consonne PIRON Épitaphe d'un grammairien. voyelle
Seuls les Égyptiens, peuple éminemment philosophe, avaient conçu le principe simplificateur et fécond de l'alphabétisme, qui décompose la syllabe et en représente par des signes distincts la consonne et la voyelle FR. LENORMANT Manuel d'histoire anc. de l'Orient, t. III, p. 108, 4e édition. alphabétisme
Quand la rime qu'on emploie est trop abondante, comme celle des mots en ant, on regarde comme une négligence la rime qui n'est que dans le son, et qui n'est pas dans la consonne MARMONTEL Oeuv. t. X, p. 111 rime