Citations correspondant à « cruche » : 14 citations trouvées dans le Littré
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La cruche au large ventre est vide en un instant BOILEAU Lutr. I ventre
La cruche au large ventre est vide en un instant BOILEAU Lutr. I vide
Une cruche de vin de Falerne se vendait cent deniers romains MONTESQUIEU Esp. VII, 2 cruche
Le cousin me connaît ; oh ! je ne suis pas cruche, Tel que vous me voyez REGNARD le Bal, 7 cruche
Basile : Ah ! je n'irai pas lutter contre le pot de fer, moi qui ne suis.... - Figaro : Qu'une cruche ! BEAUMARCHAIS Mar. de Fig. II, 23 pot
Cornes cela ! vous me prenez pour cruche ! Ce sont oreilles que Dieu fit LA FONTAINE Fabl. V, 4 cruche
Le pilote couronné de fleurs laissait le gouvernail et tenait en sa main une grande cruche de vin qu'il avait presque vidée FÉNELON Tél. IV cruche
D'un vin pur et vermeil il fait remplir sa coupe ; Il l'avale d'un trait, et, chacun l'imitant, La cruche au large ventre est vide en un instant BOILEAU Lutr. I cruche
Les Américains croyaient que la pluie venait de ce qu'une jeune fille qui était dans les nues jouant avec son petit frère, il lui cassait sa cruche pleine d'eau FONTENELLE Orig. fabl. t. III, p. 288, dans POUGENS pluie
On mit auprès de lui [un moine dans un vade in pace] un pain d'orge et une cruche d'eau ; après quoi on referma la fosse, qui se bouche avec un large plateau de grès VOLTAIRE Dict. phil. Voeu. grès [1]
J'aimerais mieux cent fois être grosse pécore, Devenir cruche, chou, lanterne, loup-garou, Et que monsieur Satan vous vînt tordre le cou MOLIÈRE l'Étour. I, 11 cruche
Il y a longtemps que j'ai découvert la cruche que couvre le bonnet du philosophe suburbain [La Mothe le Vayer, qui habitait le faubourg Saint-Jacques à Paris], et votre lettre ne m'apprend rien de nouveau GUEZ DE BALZAC Lett. inédites, CLXI, éd. Tamizey-Larroque suburbain, aine
Cornes cela ! vous me prenez pour cruche ; Ce sont oreilles que Dieu fit. - On les fera passer pour cornes, Dit l'animal craintif, et cornes de licornes LA FONTAINE Fabl. V, 4 licorne
Dans toute la dispute sur ce qu'on appelait le quiétisme, il n'y a eu de bon que l'ancien conte réchauffé de la bonne femme qui apportait un réchaud pour brûler le paradis et une cruche pour éteindre le feu de l'enfer, afin qu'on ne servît plus Dieu par espérance, ni par crainte VOLTAIRE Dict. phil. Sottise. réchaud