Je fais tort au chevalier de vous mander ces sortes de choses [c'était lui qui devait les mander à Mme de Grignan] |
SÉVIGNÉ
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417 |
tort |
Je m'en vais vous mander un petit secret |
SÉVIGNÉ
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91 |
aller [1] |
Je vous prie de me mander si je pense droit |
SÉVIGNÉ
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343 |
droit, droite [1] |
Il est en lieu de vous mander les nouvelles beaucoup mieux que moi |
SÉVIGNÉ
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128 |
lieu [1] |
Tout ce que j'ai à vous prier maintenant, c'est de me mander.... |
BOILEAU
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Lett. à Racine. 4 juin 1693 |
prier |
Vous me faites plaisir de me mander tout le détail de vos frondes |
PASCAL
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Lett. à Périer, 1661 |
fronde [1] |
Puisque vous avez été si ponctuel à me mander ses sentiments [de Servien] |
SÉVIGNÉ
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à Ménage, t. I, p. 423, éd. RÉGNIER. |
ponctuel, elle |
Voilà, ma bonne, toutes les inutilités que je puis vous mander aujourd'hui |
SÉVIGNÉ
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27 mai 1680 |
inutilité |
Il doit bien vous mander des nouvelles, car il a vu Dangeau qui en sait beaucoup |
SÉVIGNÉ
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510 |
nouvelle |
Ce sont des gens qui reviennent de Versailles, et qui recueillent toutes ces ravauderies pour me les mander |
SÉVIGNÉ
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24 nov. 1675 |
ravauderie |
Je suis bien aise de vous mander que nous avons repris Corbie sur les ennemis |
VOITURE
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Lett. 74 |
reprendre |
Voilà tout ce que je puis vous mander de votre famille, dont j'ai l'honneur d'être un peu par ricochet |
VOLTAIRE
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Lett. Florian, 22 janv. 1775 |
ricochet |
Cet homme avait reçu de grandes sommes d'Adraste, pour lui mander tous les desseins des alliés |
FÉNELON
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Télém. XVI |
somme [1] |
Je m'en vais vous mander la chose la plus étonnante.... la plus merveilleuse.... la plus triomphante [le mariage de Mademoiselle et de Lauzun].... |
SÉVIGNÉ
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15 déc. 1670 |
triomphant, ante |
[Il François 1er] chargea l'agent de l'empereur de mander à son maître la résolution où il était de passer plutôt toute sa vie en prison que de rien démembrer de ses États |
ROLLIN
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Traité des Ét. liv. V, 1re part. § 7 |
démembrer |
J'ai envie de vous mander que votre fille est devenue blonde : quoi qu'il en soit, il y a toujours à tous vos enfants la marque de l'ouvrier |
SÉVIGNÉ
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20 avril 1672 |
marque |
J'ai oublié de vous mander que de Sainte-Marie il [le roi] avait envoyé un ordinaire nommé M. de Saint-Aubin, pour assurer la république de son amitié |
PELLISSON
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Lett. histor. t. II, p. 14, dans POUGENS |
ordinaire |
J'ai soupçonné que, dans toute cette affaire, il y avait eu quelque malin vouloir ; et vous pouvez en général me mander si je me trompe |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 17 mars 1770 |
vouloir [2] |
Ayez le temps de me mander si vous vous mettez sur ce diable de Rhône |
SÉVIGNÉ
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16 |
diable |
Je ne veux point vous écrire davantage aujourd'hui.... je n'ai que des riens à vous mander |
SÉVIGNÉ
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89 |
rien |
Je serai curieux de vous mander des nouvelles..., et je sais bien que je suis la meilleure banque d'où vous en sauriez avoir |
MALHERBE
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Lexique, éd. L. Lalanne |
banque |
Je vous écris, monseigneur, dès que j'ai quelque chose à vous mander ; alors mon coeur et ma plume vont vite |
VOLTAIRE
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Lett. Richelieu, 3 janv. 1757 |
mander |
Faites-moi mander simplement de vos nouvelles sans vous donner la peine d'écrire vous-même |
FÉNELON
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t. III, p. 351 |
mander |
Je vous envoie des vers que je fis il y a trois ans.... faites-moi l'honneur, s'il vous plaît, de me mander si c'est rien qui vaille |
VOITURE
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Lett. 196 |
rien |
Je vous conjure seulement de mander à d'Hacqueville ce que vous avez résolu pour cet hiver, afin que nous prenions l'hôtel de Carnavalet ou non |
SÉVIGNÉ
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6 sept. 1677 |
prendre |
Je le prie de me mander l'estime que je dois avoir de M. de Revel ; il me semble que je suis fort décidée sur celle du marquis : il a une application et une envie de bien faire qui nous en répondent |
SÉVIGNÉ
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575 |
répondre |
Après vous avoir vu triompher des victoires de nos ennemis, je suis bien aise de vous mander que nous avons pris Corbie |
VOITURE
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Lett. 74 |
triompher |
Adhémar est tout propre à vous conter ces bagatelles ; je me sens aussi du relâchement pour les nouvelles, sachant qu'il est en lieu de vous les mander beaucoup mieux que moi |
SÉVIGNÉ
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30 mars 1672 |
relâchement |
Bien que les spectacles de la Grève ne soient pas de fort belles choses à mander à une personne de votre qualité, je vous dirai pourtant par pure stérilité de nouvelles, que l'on pend et roue ici tous les jours de la semaine |
SCARRON
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Oeuv. t. I, p. 209 |
grève [1] |
Ma fille me prie de vous mander le mariage de M. de Nevers : ce M. de Nevers si difficile à ferrer, ce M. de Nevers si extraordinaire, qui glisse des mains alors qu'on y pense le moins, il épouse enfin, devinez qui ? |
SÉVIGNÉ
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au comte de Grignan, 10 déc. 1670 |
ferrer |
Vous n'avez donc plus qu'à me mander pourquoi vous m'avez envoyé ce beau chapelet que je méconnaissais |
SÉVIGNÉ
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21 juin 1680 |
méconnaître |
M. le chevalier vous doit mander ce que dit le roi au roi d'Angleterre, en lui disant adieu : Monsieur, je vous vois partir avec douleur ; cependant je souhaite de ne vous revoir jamais |
SÉVIGNÉ
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2 mars 1689 |
revoir |
J'en tirerai de la gloire [d'un livre de Chapelain] et non pas vous, qui êtes un vrai moqueur de me mander si souvent que vous me devrez votre éternité, et que je vous donne ce que je pense plutôt recevoir de vous |
GUEZ DE BALZAC
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Lett. inédites, LXXXIII (éd. Tamizey-Larroque). |
éternité |
La bonne d'Heudicourt est ravie d'une lettre que vous lui avez écrite ; elle peut vous mander de fort bonnes choses et très particulières ; ce commerce vous divertira extrêmement |
SÉVIGNÉ
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7 août 1675 |
particulier, ère |
Elle [la Providence] veut donc que vous veniez cet hiver, et que nous soyons en même maison ; je n'ai nul dessein d'en sonner la trompette ; mais il a fallu le mander à d'Hacqueville pour nous arrêter le Carnavalet [un hôtel du Marais à Paris] |
SÉVIGNÉ
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13 sept. 1677 |
trompette [1] |
Cette gueule enfarinée [une confiance trop grande en une nouvelle], qui m'a obligée de vous dire de si bon coeur une fausseté, ne m'empêchera pas de vous en mander peut-être encore, car je suis toujours la dupe des circonstances, et cette nouvelle en était toute pleine |
SÉVIGNÉ
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Lett. du 1er mai 1686 |
gueule |
Pour réparer des offenses si sensibles, vous croyez faire assez de m'exhorter à vous répondre sans outrages, pour nous repentir après tous deux de nos folies, et de me mander impérieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami, afin que vous soyez encore le mien |
CORNEILLE
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Lett. apolog. |
gaillardise |