Citations correspondant à « poumon » : 11 citations trouvées dans le Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Une artère bronchiale inconnue aux plus grands scrutateurs du poumon |
FONTENELLE
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Ruysch. |
scrutateur |
Au-dessous du poumon est l'estomac, qui est un grand sac en forme d'une bourse ou d'une cornemuse |
BOSSUET
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Conn. II, 3 |
cornemuse |
La veine-cave reporte le sang de tout le corps, excepté du coeur et du poumon |
BOSSUET
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Conn. II, 8 |
reporter [1] |
On lui trouva [à Montereul, de l'Académie française] sur le poumon un corps étranger en forme de champignon, qui l'avait peu à peu suffoqué |
PELLISSON
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Hist. Acad. IV, Montereul. |
suffoquer |
Il était difficile d'expliquer comment la vapeur de l'alcali volatil pouvait aller neutraliser l'air gazeux [l'acide carbonique] dans le poumon d'un animal.... |
CONDORCET
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Bucquet. |
neutraliser |
Ne perdons pas notre temps et notre poumon [en compliments] |
SÉVIGNÉ
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8 avril 1671 |
poumon |
Immédiatement après que l'air, chargé d'exhalaisons nuisibles, a été chassé au dehors par l'expiration, l'inspiration introduit dans le poumon un nouvel air, et avec lui bien des principes qui influent plus ou moins sur la sanguification |
BONNET
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Contempl. nat. Oeuvr. t. VIII, p. 30, note 1, dans POUGENS. |
inspiration |
Tout l'air que le poumon chasse dans la trachée au moment de l'expiration est forcé d'enfiler l'ouverture étroite de la glotte, et c'est du frôlement de cet air contre les lèvres de celle-ci que dépend en général la formation de la voix |
BONNET
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Contempl. nat. Oeuv. t : VIII, p. 33, note 2, dans POUGENS. |
frôlement |
Les fatigues de son métier, très pénible par lui-même, et plus pénible pour lui que pour tout autre, lui causèrent un mal de poitrine si violent, qu'on lui crut un ulcère au poumon |
FONTENELLE
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du Verney. |
ulcère |
Nos tailleurs de pierre de grès sont très souvent malades du poumon, quoique cette poussière de grès n'ait pas d'autre mauvaise qualité que sa très grande ténuité |
BUFFON
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Min. t. VI, p. 68 |
tailleur |
Je veux exprimer ma pensée, les paroles convenables me sortent aussitôt de la bouche, sans que je sache aucun des mouvements que doivent faire, pour les former, la langue ou les lèvres, encore moins ceux du cerveau, du poumon et de la trachée-artère ; puisque je ne sais pas même naturellement si j'ai de telles parties et que j'ai eu besoin de m'étudier moi-même pour le savoir |
BOSSUET
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Connaiss. III, 12 |
étudier |