Citations correspondant à « ravaler » : 12 citations trouvées dans le Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Ils ne cessaient de ravaler ce prince à cause de sa bassesse et de sa pauvreté |
VAUGELAS
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Q. C. IV, 1 |
bassesse |
Vouloir ravaler la dignité de médecin à des emplois de cette nature ? |
MOLIÈRE
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Méd. malgré lui, II, 9 |
ravaler |
Si l'on a quelques arbres languissants dont la pousse s'arrête, on ne manque pas de les ravaler |
GENLIS
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Maison rust. t. II, p. 475, dans POUGENS |
ravaler |
La duchesse fut indignée d'un choix qui semblait ravaler son mérite beaucoup plus que les autres |
HAMILTON
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Gramm. 10 |
ravaler |
Il vous sied bien, manipuleur ignorant, de ravaler ainsi le premier, le plus grand et le plus utile des arts ? |
BEAUMARCHAIS
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Barb. de Sév. II, 13 |
manipuleur |
Ce n'est qu'une pièce de théâtre que je lui présente, mais qui l'entretiendra de Dieu ; la dignité de la matière est si haute, que l'impuissance de l'artisan ne la peut ravaler |
CORNEILLE
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Polyeucte, à la reine régente |
ravaler |
J'aimerais bien mieux, disais-je en moi-même, qu'elle connût toute ma misère ; je la lui peignis, mais sans me ravaler |
MAINTENON
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Lett. à Mme de Chantalon, 11 juill. 1666 |
ravaler |
Ce n'est qu'une pièce de théâtre [Polyeucte] que je lui présente, mais qui l'entretiendra de Dieu ; la dignité de la matière est si haute, que l'impuissance de l'artisan ne la peut ravaler |
CORNEILLE
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Poly. à la reine régente. |
impuissance |
Et toi, rival des Praxitèle et des Phidias.... inimitable Pigal, ta main se résoudra à ravaler le ventre d'un magot, ou il faudra qu'elle demeure oisive |
ROUSSEAU
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Scienc. 2 |
ravaler |
Dois-je me ravaler jusques à cet époux, Ou dois-je par votre ordre aspirer jusqu'à vous ? |
CORNEILLE
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Oth. II, 3 |
ravaler |
Il n'a pas le droit... de parler comme le premier révolutionnaire venu, de bafouer nos institutions nouvelles et les hommes qui les représentent, de ravaler sa parole jusqu'à ce rôle de vulgaire balconier |
FR. CHARMES
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Journ. des Débats, 1er janv. 1875, 1re p. 5e col. |
balconier |
S'il faut que vos bontés veuillent me consoler, Et jusqu'à mon néant daignent se ravaler, J'aurai toujours pour vous, ô suave merveille, Une dévotion à nulle autre pareille |
MOLIÈRE
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Tart. III, 3 |
suave |