Qui vous aima sans sceptre et se fit votre appui, Quand vous le recouvrez est bien digne de lui [sceptre] |
CORNEILLE
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Sanche, I, 1 |
lui [1] |
Depuis qu'il [Boileau] avait quitté ce sceptre du Parnasse, qui avait été longtemps un sceptre de fer entre ses mains, mais nécessaire au maintien du bon goût |
D'ALEMBERT
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Éloges, St-Aulaire. |
sceptre |
Irai-je.... Joindre un sceptre étranger au sceptre de mes pères Et les flambeaux d'hymen aux flambeaux funéraires ? |
VOLTAIRE
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Mér. II, 7 |
flambeau |
Sépare tes présents, et ne m'offre aujourd'hui Que ton fils sans le sceptre ou le sceptre sans lui |
CORNEILLE
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Héracl. I, 2 |
sans |
Sépare tes présents, et ne m'offre aujourd'hui Que ton fils sans le sceptre, ou le sceptre sans lui |
CORNEILLE
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Héracl. I, 2 |
séparer |
Il n'y a que le mot de sceptre que l'usage de notre langue nous pourrait faire prendre pour la seule royauté ; au lieu que, dans la langue sainte, il signifie en général, la puissance, l'autorité, la magistrature ; cet usage du mot sceptre se trouve à toutes les pages de l'Écriture |
BOSSUET
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Hist. II, 2 |
sceptre |
J'avilirais le sceptre à venger mon injure |
DELAVIGNE
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V, Sicil. III, 2 |
à |
Il a de votre sceptre abattu le soutien |
CORNEILLE
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Cid, II, 9 |
abattre |
Un ânier, son sceptre à la main |
LA FONTAINE
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Fab. II, 10 |
ânier, ière |
Et son sceptre arraché des mains de l'ennemi |
CORNEILLE
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Hor. IV, 2 |
arraché, ée |
Décorés de la pourpre et du sceptre du maître |
VOLTAIRE
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Irène, II, 1 |
décoré, ée |
À l'épreuve d'un sceptre il n'est point d'amitié |
CORNEILLE
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Héracl. I, 3 |
épreuve |
Il s'essaie à braver un sceptre qui lui pèse |
DELAVIGNE
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Vêpres sicil. II, 2 |
essayer |
La moitié de la terre à son sceptre est soumise |
RACINE
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Esth. I, 1 |
moitié |
À l'épreuve d'un sceptre, il n'est point d'amitié |
CORNEILLE
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Héracl. I, 3 |
sceptre |
Un sceptre si tôt tombé d'une royale main |
BOSSUET
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Mar.-Thér. |
tombé, ée |
Mettons le sceptre aux mains dignes de le porter |
RACINE
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ib. II, 6 |
à |
Sous un sceptre de fer tout ce peuple abattu |
VOLTAIRE
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Brutus. I, 2 |
fer [1] |
Son sceptre et son épouse ont passé dans vos bras |
VOLTAIRE
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Oedipe, II, 4 |
passer |
Cet usage du mot sceptre se trouve à toutes les pages de l'Écriture |
BOSSUET
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Hist. II, 2 |
à |
Le ciel daigne bénir votre sceptre et vos jours |
CORNEILLE
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Héracl. V, 3 |
bénir |
Cet usage du mot de sceptre se trouve à toutes les pages de l'Écriture |
BOSSUET
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Hist. II, 2 |
de |
Venant prendre possession du sceptre de la Grande-Bretagne |
BOSSUET
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Reine d'Anglet. |
sceptre |
Son coeur suivra le sceptre, en quelque main qu'il brille |
CORNEILLE
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Pulch. I, 3 |
suivre |
Mais qu'un sceptre est pesant, quand on entre au tombeau ! |
DUCIS
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Hamlet, II, 5 |
tombeau |
Cet usage du mot de sceptre se trouve à toutes les pages de l'Écriture |
BOSSUET
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Hist. II, 2 |
usage |
Jamais sceptre n'a fait sur terre Autant de bien que mon archet |
BÉRANGER
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Viol. brisé. |
archet |
C'est le choix de la nation qui mit d'abord le sceptre entre les mains de vos ancêtres |
MASSILLON
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Pet. car. Écueils. |
choix |
Je ne demande point que par compassion Vous assuriez un sceptre à ma protection |
CORNEILLE
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Nicom. IV, 2 |
compassion |
Un sceptre que jadis vos pères ont reçu De ce fameux mortel que la terre a conçu |
RACINE
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Phèd. II, 2 |
concevoir |
Ah ! tu me rends la vie et le sceptre à la fois ; Un sage conseiller est le bonheur des rois |
CORNEILLE
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Pomp. II, 4 |
conseiller, ère [2] |
.... Père, sceptre, alliés, Content de votre coeur, il met tout à vos pieds |
RACINE
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Andr. IV, 1 |
content, ente |
Aux larmes, au travail le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné |
RACINE
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Ath. IV, 3 |
de |
Le sceptre que porte sa race, Où l'heur aux mérites est joint, Lui met le respect en la face |
MALHERBE
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III, 1 |
face |
Ce sceptre, cet empire.... fatiguent souvent leur triste possesseur |
RACINE
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Esth. II, 7 |
fatiguer |
Mon fils, dit-il, tout sceptre est un grand poids, Sois mon second, prends la férule |
BÉRANGER
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Denys. |
férule |
Qu'aux larmes, au travail le peuple est condamné, Et d'un sceptre de fer veut être gouverné |
RACINE
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Athal. IV, 3 |
gouverner |
Les rois .... Laissaient leur sceptre aux mains ou d'un maire ou d'un comte |
BOILEAU
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Lutr. II |
maire |
Il [Fleury] porta le sceptre des rois, Et le garda jusqu'à nonante [ans] |
VOLTAIRE
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Ép. 88 |
nonante |
Quiconque tient le sceptre et l'encensoir a les deux mains fort occupées |
VOLTAIRE
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Dict. phil. Puissance |
occupé, ée |