Citations correspondant à « sourdine » : 10 citations trouvées dans le Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Mais j'ai plus à vous dire : il s'est à la sourdine Marié depuis peu |
HAUTEROCHE
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le Deuil, 14 |
sourdine |
Le sang de nos martyrs fait des prosélytes ; le troupeau des sages grossit à la sourdine |
VOLTAIRE
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Lett. d'Alemb. 3 juill. 1773 |
sourdine |
Ils en sont décampés à la sourdine, sans trompette, comme ils font assez souvent |
PELLISSON
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Lett. hist. t. III, p. 93 |
sourdine |
Comme on ne gagnait rien à cette sourdine imparfaite, la Breteche permit tout le bruit de guerre |
SAINT-SIMON
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29, 85 |
sourdine |
C'étaient des concerts entiers de voix et d'instruments qu'il faisait venir de Paris à la sourdine, et qui se déclaraient inopinément |
HAMILTON
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Gramm. 7 |
sourdine |
Et je prévis bien des ce temps Que votre muse libertine Serait philosophe à trente ans ; Alcibiade en son printemps Était Socrate à la sourdine |
VOLTAIRE
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Ép. 111, Au marquis de Villette. |
sourdine |
Tout en me faisant de grandes courbettes, il travailla tellement à la sourdine, que, ne pouvant porter l'ambassadeur à me donner mon congé, il me mit dans la nécessité de le prendre |
ROUSSEAU
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Conf. VII |
courbette |
Elle [Mme de Geoffrin] estimait le baron d'Holbach, elle aimait Diderot, mais à la sourdine, et sans se commettre pour eux |
MARMONTEL
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Mém. VII |
sourdine |
....ah ! ma soeur la mutine, Vous traitez donc ainsi l'amour à la sourdine, Tête à tête de nuit, et vous faites complot De mettre voile au vent tous deux sans dire mot ? |
CORNEILLE Th.
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D. Bertr. de Cigaral, v, 6 |
voile [2] |
Il est [le thème chanté par Charon, dans l'Alceste de Gluck] toujours précédé et suivi de trois sons de cors donnant la même note que la voix, mais d'un caractère mystérieux, rauque, caverneux.... les deux cors à l'unisson, avec leurs notes toniques et dominantes, et par conséquent leurs sons ouverts, ne produisaient point du tout ce qu'il [Gluck] cherchait ; enfin il s'avisa de faire aboucher les cors, pavillon contre pavillon ; les deux instruments se servant ainsi mutuellement de sourdine, et les sons s'entre-choquant à leur sortie, le timbre extraordinaire fut trouvé |
H. BERLIOZ
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à travers chants, p. 184 |
pavillon |