À peine la lumière blanchissait le fond du vallon |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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l'Arcadie, livre II |
blanchir |
Nous descendîmes ensuite dans une gorge de vallon |
CHATEAUBRIAND
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Itin. 1re part. |
gorge |
Ici, dans un vallon bornant tous mes désirs, J'achète à peu de frais de solides plaisirs |
BOILEAU
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Ép. VI |
borner |
[Il] Vole au vallon, courbe un myrte en cerceau, Pour ombrager ton enfant qui sommeille |
LAMARTINE
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Harold, 27 |
cerceau |
Tel en un secret vallon.... Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature |
RACINE
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Ath. II, 9 |
nature |
.... Le rayon du soir qui pompe les orages Sur le vallon plus sombre abaissait les nuages |
LAMARTINE
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Joc. III, 92 |
pomper |
C'est [Port Royal des Champs] un vallon affreux, tout propre à faire son salut |
SÉVIGNÉ
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26 janv. 1674 |
propre |
On dirait qu'ils ont seuls l'oreille d'Apollon, Qu'ils disposent de tout dans le sacré vallon |
BOILEAU
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Disc. au roi. |
vallon |
Là, deux ruisseaux, cachés sous des ponts de verdure, Tracent en serpentant les contours du vallon |
LAMARTINE
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Médit. I, 6 |
contour |
Et, sans aller rêver dans le double vallon, La colère suffit et vaut un Apollon |
BOILEAU
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ib. I |
rêver |
Déjà le tonnerre faisait entendre ses lugubres roulements, lorsqu'ils arrivèrent à l'entrée du vallon |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
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Chaum. ind. |
roulement |
Et, sans aller rêver dans le double vallon, La colère suffit et vaut un Apollon |
BOILEAU
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Sat. I |
vallon |
Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature |
RACINE
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Ath. II, 9 |
bord |
Tel en un secret vallon Sur le bord d'une onde pure Un jeune lis, l'amour de la nature, Croît à l'abri de l'aquilon |
RACINE
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Athal. II, 9 |
lis [1] |
Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît, à l'abri de l'aquilon, Un jeune lis, l'amour de la nature |
RACINE
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Athal. II, 9 |
vallon |
C'est celui qui, sous Apollon, Prend soin des haras du Parnasse, Et qui fait provigner la race Des bidets du sacré vallon |
ROUSSEAU J.-B.
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Ép. III, 27 |
provigner |
Vous qui passez comme l'ombre Par ce triste vallon de pleurs, Passagers sur ce globe sombre, Hommes, mes frères en douleurs |
LAMARTINE
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Médit. II, 4 |
vallon |
C'est que d'un toit de chaume une faible fumée, Un peu d'herbe le soir par le pâtre allumée, Suffit pour obscurcir tout le ciel d'un vallon, Et dérober le jour au plus pur horizon |
LAMARTINE
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Harm. I, 5 |
jour |
Vous êtes, ô vallon, la retraite suprême, Où nous avons pleuré, nous tenant par la main |
HUGO
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Rayons et ombres, 34 |
tenir |
Cependant, à les voir enflés de tant d'audace, Te promettre en leur nom les faveurs du Parnasse, On dirait qu'ils ont seuls l'oreille d'Apollon, Qu'ils disposent de tout dans le sacré vallon |
BOILEAU
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Disc. au roi. |
disposer |
Voilà les feuilles sans séve Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon |
LAMARTINE
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Harm. II, 1 |
élever |
Voilà les feuilles sans séve Qui tombent sur le gazon ; Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon |
LAMARTINE
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Harm. II, 1 |
feuille |
L'aisé, le tendre Saint-Aulaire, Plus vieux encor qu'Anacréon, Avait une voix plus légère ; On voyait les fleurs de Cythère Et celles du sacré vallon Orner sa tête octogénaire |
VOLTAIRE
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Temple du goût. |
cythère |
On s'y perd [dans cette vie], on s'y déroute comme dans une plaine vaste et inhabitée, où il n'y a ni vallon ni coteau, et où les pas des hommes n'ont point marqué de sentier |
BOSSUET
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dans le Dict. de DOCHEZ. |
dérouter |
Entre deux coteaux assez élevés est un petit vallon nord et sud, au fond duquel coule une rigole entre des cailloux et des arbres |
ROUSSEAU
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Conf. V |
rigole |
Je vous avoue que j'ai été ravie de voir cette divine solitude [Port-Royal], dont j'avais tant ouï parler ; c'est un vallon affreux, tout propre à faire son salut |
SÉVIGNÉ
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26 janv. 1674 |
solitude |
Un petit ruisseau coulant des hauteurs voisines suffit, avec le temps, pour étendre une couche de sable ou de gravier sur toute la superficie d'un vallon, quelque spacieux qu'il soit |
BUFFON
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Hist. nat. 2e disc. |
spacieux, euse |
Les angles saillants d'une montagne se trouvent toujours opposés aux angles rentrants de la montagne voisine, qui en est séparée par un vallon ou par une profondeur |
BUFFON
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Théorie de la terre, 2e disc. |
angle |
C'est, dit Thalie, à son rouge trompée, Apparemment quelque jeune Napée, Qui court en masque au bas de ce vallon. - Vous vous trompez, lui répond Apollon ; C'est tout au plus une vieille poupée En manteau court |
ROUSSEAU J.-B.
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Rond. épigr. |
poupée |
Ils reçurent du ciel un coeur tel que le nôtre ; Ce coeur fut leur génie ; il fut leur Apollon, Et leur docte fontaine et leur sacré vallon |
CHÉNIER
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Ép. I |
génie |