Citations correspondant à « vérifier » : 10 citations trouvées dans le Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Le czar en partant de Paris avait d'autres affaires qu'à vérifier des passages de saint Épiphane |
VOLTAIRE
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Hist. de Russ. II, 9 |
affaire |
On prétend que les chevaux auxquels on a fendu les naseaux ne peuvent plus hennir ; je n'ai pas été à portée de vérifier le fait |
BUFFON
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Cheval. |
hennir |
De fréquentes relâches [du navire] mettaient à portée de vérifier la régularité de la marche des montres marines |
CONDORCET
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Courtanvaux. |
marche [2] |
J'ai eu le plaisir de vérifier dans saint Thomas, le docteur angélique, toute la doctrine du régicide |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argental, 15 février 1763 |
régicide |
Il repartit accompagné d'Acunha et d'Artieda, deux jésuites éclairés, qu'on chargea de vérifier ses observations et d'en faire d'autres |
RAYNAL
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Hist. phil. IX, 11 |
éclairé, ée |
Le roi a été au palais, où il a fait vérifier quantité d'édits de divers offices ; M. Bignon y a harangué devant le roi très pathétiquement ; et nonobstant tout a passé |
PATIN
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Lett. t. II, p. 158 |
pathétiquement |
On touche au temps de vérifier ce qui a été dit, qu'il y avait une puissance qui donnerait la paix, et que cette puissance c'était la misère |
VOLTAIRE
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Lett. d'Argent. nov. 1759 |
misère |
En Andalousie, qui est un pays fécond en palmiers, il voulut vérifier ce que l'on dit depuis si longtemps des amours du mâle et de la femelle de cette espèce ; mais il n'en put rien apprendre de certain, et ces amours si anciennes, en cas qu'elles soient, sont encore mystérieuses |
FONTENELLE
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Tournefort. |
palmier |
Cette idée de féconder des plantes femelles par leurs racines, mérite assurément que vous tentiez les expériences propres à la vérifier ; mais les racines sont bien éloignées des fleurs, et l'esprit fécondant aurait bien du chemin à faire pour parvenir à l'ovaire |
BONNET
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Lett. div. Oeuv. t. XII, p. 290, dans POUGENS |
fécondant, ante |
Quand le roi [Charles IX] eut fait porter cet édit [accordant aux protestants une grande liberté de conscience] au parlement de Toulouse par un gentilhomme nommé Rapin qui avait appartenu au prince de Condé, le parlement de Toulouse, au lieu de vérifier l'édit, fit couper la tête à Rapin |
VOLTAIRE
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Hist. parl. XVIII |
vérifier |