importuné, ée
part. passé (in-por-tu-né, née) d'importuner
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Du bruit de ses exploits mon âme importunée
. [Racine, Alexandre le grand] Il était moins sensible à l'éclat du trône qu'importuné des devoirs qu'il impose
. [Duclos, Hist. Louis XI, Oeuv. t. II, p. 21, dans POUGENS]