Oeuvres et citations de Jean de MAIRET

401 citations de l'auteur Jean de MAIRET (Page 8 sur 11)

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Citation Œuvre Entrée
De tant de coups mon estomac ouvert, Et tout mon triste corps de blessures couvert Sophon. IV, 5 ouvert, erte
Seigneur, j'ai des papiers qu'il faut que je vous montre Soliman, II, 3 papier
Vois ce papier honteux, et par son écriture Apprends en même temps et plains mon aventure Sophon. I, 3 papier
Une fière harpie, un aigle ravissant De qui le vol s'étend par tout notre hémisphère Sophon. v, 1 par [1]
Pardonner à demi, c'est ne pardonner pas Mort de Chrispe, III, 2 pardonner
Mais je perds la parole ; une extrême faiblesse Me va faire dans peu rejoindre la princesse M. d'Asdrub. v, 3 parole
On le fouille et l'on trouve enfin le passe-port Mort d'Asdrub. III, 3 passe-port
Avant que le jour passe, On saura qui des deux doit régner sur la Thrace Soliman, III, 6 passer
Je ris de sa colère, il faut qu'elle se passe M. de Chrispe, III, 6 passer
Monseigneur, la fortune n'a pu souffrir que les passions que j'ai de vous plaire fussent plus longtemps inutiles Ép. à Richelieu, en tête des Nouv. oeuv. de Théophile. passion
Le roi tout le premier, payant de sa personne, Nous conduit à leur camp que l'on nous abandonne Sophon. II, 4 payer
Il est plus à propos D'apprivoiser la mort en payant de constance, Que de l'effaroucher en faisant résistance Solim. V, 3 payer
Ah ! madame, perdez cette injuste créance Sophon. III, 4 perdre
À ces raisons qui ne sont pas petites Soliman, II, 2 petit, ite
Une femme de peu se présente à ma vue Soliman, I, 1 peu
Ces vieilles phalanges Qui virent tant de mers et de terres étranges Sophon. III, 1 phalange [1]
Jamais roi n'a mis en moins de temps Ni tant d'amis sur pied, ni tant de combattants Soliman, II, 1 pied
Leurs débris sont couverts d'une pile de morts Mort d'Asdrub. I, 3 pile [1]
Ô dieux ! le coeur me bat, Et m'annonce déjà que nous avons du pire Sophon. II, 3 pire
Et quoique jusqu'ici la fortune contraire Nous ait fait tout du pis qu'elle nous pouvait faire Sophon. I, 3 pis [1]
Il a dressé le plan de quelque trahison Solim. II, 2 plan [2]
Les avis, les conseils vous pleuvent l'un sur l'autre Soliman, III, 2 pleuvoir
Et je ne doute point.... qu'à son jugement vous n'emportiez la pomme Des plus grandes beautés de Capoue ou de Rome Sophon. III, 2 pomme
Venez-vous m'annoncer le naufrage ou le port ? Sophon, v, 2 port [1]
Que tous les serviteurs et les proches des traîtres Portent l'iniquité des parents et des maîtres Soliman, V, 6 porter [1]
Mais posons qu'en ceci le sénat vous outrage Sophon. V, 2 poser
Sénat impérieux qui n'aime que la guerre, Et dont l'orgueil poursuit l'empire de la terre Mort d'Asdrub. III, 4 poursuivre
Carthage n'est plus rien que poussière et que cendre Mort. d'Asdrub. I, 1 poussière
N'ayant pu soutenir nos bataillons pressés Sophon. II, 4 pressé, ée
Ce fut dans ce voyage et durant sa prison Qu'il étreignit le noeud de cette trahison Soliman, II, 7 prison
C'est par cette raison, ou publique ou privée.... Sophon. v, 2 privé, ée [1]
On ne peut procéder avec trop de mesure Soliman, III, 7 procéder
Accident prodigieux Sophon. I, 4 prodigieux, euse
Des termes dont un jour vous vous repentirez Avec plus de raison qu'ils ne sont proférés Soliman, IV, 4 proférer
....Mes lieutenants ont encor depuis peu Promené dans son camp et le fer et le feu Soliman, I, 3 promener
Mais changeons de propos, on vient d'ouvrir la porte Solim. V, 3 propos
Tu veux rendre, Asdrubal, par une pure fable, Le coupable innocent et l'innocent coupable Mort d'Asdr. II, 3 pur, ure
....Ayez soin qu'on la mène Comme fille royale au quartier de la reine Sol. III, 9 quartier
Mais un page du roi tire Osman à quartier ; Ne désespérons pas ; il lui donne un papier Soliman, V, 8 quartier
Quitte cette tendresse ; Pleurer les ennemis est marque de faiblesse Mort d'Asdrub. V, 3 quitter
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