De tant de coups mon estomac ouvert, Et tout mon triste corps de blessures couvert |
Sophon. IV, 5 |
ouvert, erte |
Seigneur, j'ai des papiers qu'il faut que je vous montre |
Soliman, II, 3 |
papier |
Vois ce papier honteux, et par son écriture Apprends en même temps et plains mon aventure |
Sophon. I, 3 |
papier |
Une fière harpie, un aigle ravissant De qui le vol s'étend par tout notre hémisphère |
Sophon. v, 1 |
par [1] |
Pardonner à demi, c'est ne pardonner pas |
Mort de Chrispe, III, 2 |
pardonner |
Mais je perds la parole ; une extrême faiblesse Me va faire dans peu rejoindre la princesse |
M. d'Asdrub. v, 3 |
parole |
On le fouille et l'on trouve enfin le passe-port |
Mort d'Asdrub. III, 3 |
passe-port |
Avant que le jour passe, On saura qui des deux doit régner sur la Thrace |
Soliman, III, 6 |
passer |
Je ris de sa colère, il faut qu'elle se passe |
M. de Chrispe, III, 6 |
passer |
Monseigneur, la fortune n'a pu souffrir que les passions que j'ai de vous plaire fussent plus longtemps inutiles |
Ép. à Richelieu, en tête des Nouv. oeuv. de Théophile. |
passion |
Le roi tout le premier, payant de sa personne, Nous conduit à leur camp que l'on nous abandonne |
Sophon. II, 4 |
payer |
Il est plus à propos D'apprivoiser la mort en payant de constance, Que de l'effaroucher en faisant résistance |
Solim. V, 3 |
payer |
Ah ! madame, perdez cette injuste créance |
Sophon. III, 4 |
perdre |
À ces raisons qui ne sont pas petites |
Soliman, II, 2 |
petit, ite |
Une femme de peu se présente à ma vue |
Soliman, I, 1 |
peu |
Ces vieilles phalanges Qui virent tant de mers et de terres étranges |
Sophon. III, 1 |
phalange [1] |
Jamais roi n'a mis en moins de temps Ni tant d'amis sur pied, ni tant de combattants |
Soliman, II, 1 |
pied |
Leurs débris sont couverts d'une pile de morts |
Mort d'Asdrub. I, 3 |
pile [1] |
Ô dieux ! le coeur me bat, Et m'annonce déjà que nous avons du pire |
Sophon. II, 3 |
pire |
Et quoique jusqu'ici la fortune contraire Nous ait fait tout du pis qu'elle nous pouvait faire |
Sophon. I, 3 |
pis [1] |
Il a dressé le plan de quelque trahison |
Solim. II, 2 |
plan [2] |
Les avis, les conseils vous pleuvent l'un sur l'autre |
Soliman, III, 2 |
pleuvoir |
Et je ne doute point.... qu'à son jugement vous n'emportiez la pomme Des plus grandes beautés de Capoue ou de Rome |
Sophon. III, 2 |
pomme |
Venez-vous m'annoncer le naufrage ou le port ? |
Sophon, v, 2 |
port [1] |
Que tous les serviteurs et les proches des traîtres Portent l'iniquité des parents et des maîtres |
Soliman, V, 6 |
porter [1] |
Mais posons qu'en ceci le sénat vous outrage |
Sophon. V, 2 |
poser |
Sénat impérieux qui n'aime que la guerre, Et dont l'orgueil poursuit l'empire de la terre |
Mort d'Asdrub. III, 4 |
poursuivre |
Carthage n'est plus rien que poussière et que cendre |
Mort. d'Asdrub. I, 1 |
poussière |
N'ayant pu soutenir nos bataillons pressés |
Sophon. II, 4 |
pressé, ée |
Ce fut dans ce voyage et durant sa prison Qu'il étreignit le noeud de cette trahison |
Soliman, II, 7 |
prison |
C'est par cette raison, ou publique ou privée.... |
Sophon. v, 2 |
privé, ée [1] |
On ne peut procéder avec trop de mesure |
Soliman, III, 7 |
procéder |
Accident prodigieux |
Sophon. I, 4 |
prodigieux, euse |
Des termes dont un jour vous vous repentirez Avec plus de raison qu'ils ne sont proférés |
Soliman, IV, 4 |
proférer |
....Mes lieutenants ont encor depuis peu Promené dans son camp et le fer et le feu |
Soliman, I, 3 |
promener |
Mais changeons de propos, on vient d'ouvrir la porte |
Solim. V, 3 |
propos |
Tu veux rendre, Asdrubal, par une pure fable, Le coupable innocent et l'innocent coupable |
Mort d'Asdr. II, 3 |
pur, ure |
....Ayez soin qu'on la mène Comme fille royale au quartier de la reine |
Sol. III, 9 |
quartier |
Mais un page du roi tire Osman à quartier ; Ne désespérons pas ; il lui donne un papier |
Soliman, V, 8 |
quartier |
Quitte cette tendresse ; Pleurer les ennemis est marque de faiblesse |
Mort d'Asdrub. V, 3 |
quitter |