Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "enferrer" du dictionnaire de français Littré
Courage, s'il se peut enferrer tout de bon, Nous nous ôtons du pied une fâcheuse épine
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Ét. III, 2)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Vous enfiliez tout droit, sans mon instruction, Le grand chemin d'enfer et de perdition | Éc. des femmes, III, 1 | enfiler |
| Enfin pour son époux j'ai fait choix de Clitandre | F. sav. v, 3 | enfin |
| C'est un homme.... qui.... oh !... un homme.... un homme enfin ! | Tart. I, 6 | enfin |
| J'ai la tête plus grosse que le poing, et si n'est-elle pas enflée | Bourg. gent. III, 5 | enflé, ée |
| Et quand je puis venir, enflé d'une nouvelle, Donner à son repos une atteinte mortelle, C'est lors que plus il m'aime | D. Garcie, II, 1 | enflé, ée |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Quand elle s'enferrerait d'elle-même par désespoir, en voyant son frère l'épée à la main | CORNEILLE | Ex. d'Hor. | enferrer |
| Laval se garda bien de s'enferrer dans aucune particularité d'occasion ou de date | SAINT-SIMON | 463, 29 | enferrer |
| Il vaut mieux, interrompit Pompée en s'enferrant de lui-même, faire transporter ici vos coffres | LESAGE | Guzm. d'Alfar. IV, 1 | enferrer |
| Je me suis enferré de dépit | BEAUMARCHAIS | Barbier, III, 2 | enferrer |