Citation de CORNEILLE extraite de l'article "méprendre (se)" du dictionnaire de français Littré
Entre tant de vertus mon choix se peut méprendre
(Pierre CORNEILLE, Héracl. V, 2)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Elle craint toutefois L'ordinaire mépris que Rome fait des rois | Pomp. III, 3 | mépris |
| Je n'ignore non plus que votre âme plus saine.... Rejette les conseils, en dédaigne le prix, Et fait de ces grandeurs un généreux mépris | Théod. II, 4 | mépris |
| Et fille qui vieillit tombe dans le mépris | le Ment. II, 2 | mépris |
| Le trône, qu'à vos yeux j'ai traité de mépris | Tois. d'or, IV, 4 | mépris |
| Ils me font méprisable alors qu'ils me font reine | Pomp. IV, 3 | méprisable |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Une candeur à laquelle on ne se méprend point | FÉNELON | Tél. XII | méprendre (se) |
| Je connais trop votre style, monsieur, pour m'y être mépris un moment | VOLTAIRE | Lett. le Jeune de la Croix, 22 mars 1773 | méprendre (se) |
| Il ne faut pas que les jansénistes s'y méprennent : si on a détruit la société [des jésuites], ce n'est ni par amour pour eux ni par estime | D'ALEMBERT | Destr. des jésuites, Oeuv. t. V, p. 187, dans POUGENS. | méprendre (se) |
| Il est fort bien fait, et chante comme Beaumaviel, à s'y méprendre | SÉVIGNÉ | 586 | méprendre (se) |