Citation de FÉNELON extraite de l'article "méprendre (se)" du dictionnaire de français Littré
Une candeur à laquelle on ne se méprend point
(François de Salignac de La Mothe FÉNELON, Tél. XII)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Ses mains ne méprisent point le travail | Tél. XXII | mépriser |
| Errant dans toute l'étendue des mers | Tél. I | mer |
| Loin de nous une piété faible et mercenaire ! attachons-nous à Dieu pour Dieu même | t. XVII, p. 347 | mercenaire |
| Ils n'ont pas voulu livrer tant de peuples à la merci d'un homme fougueux | Tél. XIX. | merci |
| Les innocents sont à la merci des envieux | ib. XX | merci |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Entre tant de vertus mon choix se peut méprendre | CORNEILLE | Héracl. V, 2 | méprendre (se) |
| Je connais trop votre style, monsieur, pour m'y être mépris un moment | VOLTAIRE | Lett. le Jeune de la Croix, 22 mars 1773 | méprendre (se) |
| Il ne faut pas que les jansénistes s'y méprennent : si on a détruit la société [des jésuites], ce n'est ni par amour pour eux ni par estime | D'ALEMBERT | Destr. des jésuites, Oeuv. t. V, p. 187, dans POUGENS. | méprendre (se) |
| Il est fort bien fait, et chante comme Beaumaviel, à s'y méprendre | SÉVIGNÉ | 586 | méprendre (se) |