Je connais trop votre style, monsieur, pour m'y... : citation de VOLTAIRE dans le dictionnaire de français Littré adapté du grand dictionnaire de la langue française d'Emile Littré

Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "méprendre (se)" du dictionnaire de français Littré

(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. le Jeune de la Croix, 22 mars 1773)

Citation	Œuvre	Entrée
Que ta religion, que fonda l'imposture, Soit l'éternel mépris de la race future	Fanat. V, 2	mépris
Il [Henri III] éprouva à ses dépens ce que c'est que commander sans pouvoir ; Guise, au mépris de ses ordres, vint à Paris	Ess. guerr. civ. France.	mépris
Ce qui est méprisable est souvent dangereux, quand il n'est pas assez méprisé	Fragm. sur l'hist. art. 25	méprisable
On n'a pas encore pu faire des observations assez sûres pour savoir de quel côté est l'erreur [touchant le jour de la planète Vénus] ; mais cette erreur ne peut être qu'une méprise des yeux, une erreur d'observation, et non de raisonnement	Phil. Newt. III, 8	méprise
Si le jésuite Daniel a pris un abbé guerrier, martialem abbatem, pour l'abbé Martial, cent historiens sont tombés dans de plus grandes méprises	Dict. phil. Abus des mots.	méprise
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Citation	Auteur	Œuvre	Entrée
Entre tant de vertus mon choix se peut méprendre	CORNEILLE	Héracl. V, 2	méprendre (se)
Une candeur à laquelle on ne se méprend point	FÉNELON	Tél. XII	méprendre (se)
Il ne faut pas que les jansénistes s'y méprennent : si on a détruit la société [des jésuites], ce n'est ni par amour pour eux ni par estime	D'ALEMBERT	Destr. des jésuites, Oeuv. t. V, p. 187, dans POUGENS.	méprendre (se)
Il est fort bien fait, et chante comme Beaumaviel, à s'y méprendre	SÉVIGNÉ	586	méprendre (se)