Citation de DELAVIGNE extraite de l'article "efféminé, ée" du dictionnaire de français Littré
Essayant sur le luth des chants efféminés
(Casimir DELAVIGNE, Vêpres sic. II, 2)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Quel effort douloureux s'est-il donc imposé ? |
Paria, II, 2 |
effort |
Ce combat comme à nous peut leur être fatal, Égaux sont les périls, le courage est égal |
Vêpres sicil. II, 6 |
égal, ale |
Vous daignez, par égard au malheur qui l'accable, Accorder l'entretien que demande un coupable |
Vêpr. sicil. IV, 1 |
égard [1] |
Par ces chemins de fleurs.... Qu'il est doux d'égarer ses désirs et ses pas ! |
Paria, II, 2 |
égarer |
J'ignore où la fureur me pourrait égarer |
Vêp. sicil. IV, 1 |
égarer |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Va, coeur efféminé, va, lâche, sors d'ici |
ROTROU
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Antig. IV, 6 |
efféminé, ée |
Des coeurs efféminés dont l'oisive mollesse Ne connaît d'intérêts que ceux de leur tendresse |
VOLTAIRE
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Sophon. I, 2 |
efféminé, ée |
C'est le propre de l'efféminé de se lever tard, de passer une partie du jour à sa toilette, de se voir au miroir, de se parfumer, de se mettre des mouches, de recevoir des billets et d'y faire réponse |
LA BRUYÈRE
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I |
efféminé, ée |
Pour la musique, on sait que les anciens croyaient que rien n'était plus pernicieux à une république bien policée que d'y laisser introduire une mélodie efféminée |
FÉNELON
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Éduc. des filles, ch. 12 |
efféminé, ée |
Quel est le citoyen parmi nous qui se priverait, comme Julien, Antonin et Marc-Aurèle, de toutes les délicatesses de notre vie molle et efféminée.... ? |
VOLTAIRE
|
Dict. phil. Philosophes, I |
efféminé, ée |