Citation de CORNEILLE extraite de l'article "éprendre (s')" du dictionnaire de français Littré
Et l'amour qui pour lui m'éprit si follement
(Pierre CORNEILLE, Mél. III, 5)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "éprendre (s')" du dictionnaire de français Littré
Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Si quelquefois le feu s'éprend en ces corps | DESCARTES | Météor. 2 | éprendre (s') |
Ah ! lorsqu'elle m'a vu, si son âme surprise, D'une ombre de pitié du moins s'était éprise | VOLTAIRE | Scythes, III, 1 | éprendre (s') |
Je m'épris pour elle de l'inclination la plus tendre | MARIVAUX | Marianne, 7e part. | éprendre (s') |
Qu'il étudie les plus grands maîtres, qu'il s'éprenne davantage de la simplicité | DIDEROT | Salon de 1767, Oeuvres, t. XIV, p. 318, dans POUGENS. | éprendre (s') |
Sa vertu, sa douceur, sa politesse, tout m'avait épris de lui | SAINT-SIMON | dans GODEFROY, Gloss. de Corn. | éprendre (s') |