Citation de DIDEROT extraite de l'article "éprendre (s')" du dictionnaire de français Littré
Qu'il étudie les plus grands maîtres, qu'il s'éprenne davantage de la simplicité
(Denis DIDEROT, Salon de 1767, Oeuvres, t. XIV, p. 318, dans POUGENS.)
Autres citations de Denis DIDEROT
Citation | Œuvre | Entrée |
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J'éprouvais ses plaisirs, ses peines, ses goûts, ses aversions | Règne de Claude et Néron, liv. II, § 1 | éprouver |
Il y a trois choses à considérer dans la proposition : l'opposition, l'équipollence et la conversion | Opin. des anc. phil. (péripatéticiens). | équipollence |
Le chaos engendra l'érèbe et la nuit | Opin. des anc. philos. (Grecs). | érèbe |
Ce furent parmi les ergoteurs de leur temps deux hommes merveilleux | Opinions des anc. phil. (scholastiques). | ergoteur, euse |
Ne vous proposez pas de me balancer entre la terreur et la volupté ; c'est une escarpolette sur laquelle je ne saurais me tenir longtemps | Sur les saisons. | escarpolette |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Si quelquefois le feu s'éprend en ces corps | DESCARTES | Météor. 2 | éprendre (s') |
On a touché mon âme, et mon coeur s'est épris | CORNEILLE | Cinna, I, 2 | éprendre (s') |
Ah ! lorsqu'elle m'a vu, si son âme surprise, D'une ombre de pitié du moins s'était éprise | VOLTAIRE | Scythes, III, 1 | éprendre (s') |
Je m'épris pour elle de l'inclination la plus tendre | MARIVAUX | Marianne, 7e part. | éprendre (s') |
Et l'amour qui pour lui m'éprit si follement | CORNEILLE | Mél. III, 5 | éprendre (s') |