Citation de MARIVAUX extraite de l'article "éprendre (s')" du dictionnaire de français Littré
Je m'épris pour elle de l'inclination la plus tendre
(Pierre de MARIVAUX, Marianne, 7e part.)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
J'ai maintenant affaire à des caprices, à des fantaisies : équipages d'esprit que toute femme apporte en naissant |
Surpr. de l'amour, II, 5 |
équipage |
Tu pourrais bien aussi escamoter Dorante à ta maîtresse |
Jeux de l'am. et du has. I, 5 |
escamoter |
Je ne veux point d'esclandre dans ma maison ; ni moi ni Toinon, nous n'en avons que faire |
Marianne, 3e part. |
esclandre |
Angélique : Mais, entre nous, que ferais-je avec un homme de cette espèce-là ? car la plupart de ces gens-là sont des espèces, vous le savez |
Préj. vaincu, sc. 4 |
espèce |
Voyons ce que c'est ; suivant l'espèce de la chose, je ferai l'estime de votre silence |
Surprise de l'am. II, 1 |
estime |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Si quelquefois le feu s'éprend en ces corps |
DESCARTES
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Météor. 2 |
éprendre (s') |
On a touché mon âme, et mon coeur s'est épris |
CORNEILLE
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Cinna, I, 2 |
éprendre (s') |
Ah ! lorsqu'elle m'a vu, si son âme surprise, D'une ombre de pitié du moins s'était éprise |
VOLTAIRE
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Scythes, III, 1 |
éprendre (s') |
Qu'il étudie les plus grands maîtres, qu'il s'éprenne davantage de la simplicité |
DIDEROT
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Salon de 1767, Oeuvres, t. XIV, p. 318, dans POUGENS. |
éprendre (s') |
Et l'amour qui pour lui m'éprit si follement |
CORNEILLE
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Mél. III, 5 |
éprendre (s') |