Citation de MARMONTEL extraite de l'article "railleur, euse" du dictionnaire de français Littré
Jamais railleur n'a moins souffert la raillerie ; un trait plaisant qui l'aurait effleuré légèrement l'aurait blessé
(Jean-François MARMONTEL, Mém. v.)
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "railleur, euse" du dictionnaire de français Littré
Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Vous m'accusez à tort, je ne suis point railleuse |
HAUTEROCHE
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les Appar. tromp. I, 12 |
railleur, euse |
Philippe était naturellement railleur, et ne pouvait se contenir, même en traitant les affaires les plus sérieuses |
ROLLIN
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Hist. anc. Oeuvr. t. VIII, p. 259 |
railleur, euse |
Il faudrait, avant que de prendre le ton railleur, être bien sûr qu'on a raison |
VOLTAIRE
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Phil. Newt. II, 3 |
railleur, euse |
Il est vrai qu'à travers la railleuse gaieté du baron, l'on voyait briller dans ses yeux une maligne joie |
ROUSSEAU
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Confess. IX |
railleur, euse |
À considérer ces propos [des salons] selon nos idées, on aurait tort de les appeler satiriques ; car ils sont bien plus railleurs que mordants et tombent moins sur le vice que sur le ridicule |
ROUSSEAU
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Hél. II, 17 |
railleur, euse |