Citation de BUFFON extraite de l'article "friche" du dictionnaire de français Littré
Jusqu'à ce qu'étant abandonnées à cause de leur stérilité, elles [des terres épuisées] puissent reprendre, sous la forme de friche, les poussières de l'air et des eaux, le limon des rosées et des pluies, et les autres secours de la nature bienfaisante, qui toujours travaille à rétablir ce que l'homme ne cesse de détruire
(Georges Louis Leclerc, comte de BUFFON, Min. t. II, p. 185, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Les friches qui se lèvent par grosses mottes et par quartiers | Quadrup. t. I, p. 188 | friche |
Le friquet, quoique plus remuant, est cependant moins pétulant, moins familier, moins gourmand que le moineau | Ois. t. VI, p. 234, dans POUGENS | friquet |
On prétend que les moutons dont la laine est trop frisée ne se portent pas aussi bien que les autres | Quadrup. t. I, p. 247, dans POUGENS | frisé, ée |
Ces deux oiseaux ne diffèrent entre eux que par la frisure des plumes | Ois. t. VIII, p. 121, dans POUGENS | frisure |
Le pays du monde le plus froid est le Spitzberg ; c'est une terre au 78e degré de latitude | Hist. nat. Théor. terr. Oeuv. t. II, p. 93, dans POUGENS. | froid, oide [1] |
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