Citation de GUEZ DE BALZAC extraite de l'article "décrié, ée" du dictionnaire de français Littré
Notre marchandise est décriée il y a longtemps
(Jean-Louis GUEZ de BALZAC, liv. VI, lett. 3)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Il n'y a point moyen de vous en dédire | liv. VII, lett. 5 | dédire |
| La défaveur et la pauvreté ne lui sont point fâcheuses, quand il les souffre | 5e Disc. sur la cour. | défaveur |
| Il défère son ennemi en évitant le nom odieux d'accusateur | 5e Disc. sur la cour. | déférer |
| Je défère tant à votre jugement que je ne veux plus avoir mauvaise opinion de moi | liv. I, lett. 4 | déférer |
| Puisque de l'écoulement des eaux dépend celui de votre défluxion, je consens de bon coeur qu'elles se retirent | liv. VII, lett. 39 | défluxion |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "décrié, ée" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| À la ville M. de Cambrai est souverainement décrié | BOSSUET | Lett. quiét. 283 | décrié, ée |
| Des auteurs décriés il prend en main la cause | BOILEAU | Ép. IX | décrié, ée |
| Tu as été beau, mais décrié pour avoir fait de honteux usages de ta beauté | FÉNELON | Dial. des morts anc. Socrate, Alcibiade. | décrié, ée |
| Un orateur décrié dans l'esprit des juges ou même suspect est un fâcheux préjugé pour la cause | ROLLIN | Traité des Ét. IV, 1 | décrié, ée |
| Des hommes décriés, sans talent, sans honneur | GRESSET | Méchant, V, 4 | décrié, ée |