Citation de FÉNELON extraite de l'article "courbé, ée" du dictionnaire de français Littré
Oh ! que ne suis-je couvert de cheveux blancs, courbé et proche du tombeau comme Laërte, mon aïeul !
(François de Salignac de La Mothe FÉNELON, Tél. IV)
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Tantôt vous tracerez la course de votre onde ; Tantôt d'un fer courbé dirigeant vos ormeaux, Vous ferez remonter leur séve vagabonde Dans de plus utiles rameaux |
ROUSSEAU J.-B.
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Odes, III, 6 |
courbé, ée |
Je ne suis pas courbé sous le poids des années |
BOILEAU
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Sat. I |
courbé, ée |
Un pauvre bûcheron tout couvert de ramée, Sous le faix du fagot aussi bien que des ans Gémissant et courbé, marchait à pas pesants |
LA FONTAINE
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Fabl. I, 16 |
courbé, ée |
Et notre dernier roi, courbé du faix des ans |
VOLTAIRE
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Zaïre, II, 1 |
courbé, ée |
Des sacrificateurs courbés par la vieillesse |
VOLTAIRE
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Oedipe, I, 1 |
courbé, ée |