Citation de BONNET extraite de l'article "défense" du dictionnaire de français Littré
On connaît les défenses de l'éléphant ; elles grossissent quelquefois au point d'acquérir chacune un poids d'environ cent vingt livres
(Charles BONNET, Contempl. nat. 12e part. ch. 46)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
C'est enfin de la même manière que je juge des facultés et des actions de mes semblables et que je défère au témoignage qu'ils me rendent en tel ou tel cas particulier |
Oeuvres, Mél. t. XVIII, p. 351, dans POUGENS |
déférer |
Combien de génies qu'une méthode contraire a fait avorter ! combien de talents étouffés ou dégénérés dès leur naissance par une culture mal entendue ! |
Ess. psychol. ch. 79 |
dégénéré, ée |
Il ne lui fut plus possible [à une femelle d'oiseau] d'aller prendre sa nourriture comme auparavant ; mais le mâle, toujours officieux et toujours empressé, allait la prendre pour elle et la lui dégorger dans le bec |
Contempl. nat. XIe part. ch. 3, note 2 |
dégorger |
Le canal destiné à conduire dans l'estomac du fourmi-lion les sucs plus ou moins déliés dont il se nourrit |
Observ. 39e, Insectes. |
délié, ée [1] |
J'attendais, d'un fourmi-lion si bien nourri, une demoiselle proportionnée à son énorme corpulence ; et je ne fus pas médiocrement surpris quand je vis paraître une demoiselle dont la taille n'avait rien du tout de remarquable |
Observ. 40e, Insectes. |
demoiselle |
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