Citation de MARMONTEL extraite de l'article "m" du dictionnaire de français Littré
Pour le B, la lèvre supérieure prend son appui au-dessous de l'inférieure ; et pour l'M les deux lèvres, d'un mouvement égal, ne font que s'unir et se détacher
(Jean-François MARMONTEL, Élém. litt. Oeuv. t. VIII, p. 504, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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La magistrature est encore parmi nous l'ordre de la société où les moeurs sont les plus sévères | Élém. hist. Oeuv. t. VII, p. 152, dans POUGENS | magistrature |
Ils ont dit que le mien serait assez beau, si.... ; que celui de Denis serait assez bien ; mais.... eh ! bien, si, mais ? | Mém. III | mais |
Elle n'ignorait pas que, dès l'âge de dix-neuf ans, il avait, selon le bel usage, une petite maison et une jolie maîtresse | Contes mor. École des pères. | maison |
Elle tenait habituellement la maison à Versailles | Mém. V | maison |
On a pris pour de la majesté la pesanteur des vers qui se tiennent comme enchaînés deux à deux, et qui se retardent l'un l'autre ; mais la majesté consiste dans le nombre, le coloris, l'éclat et la pompe du style | Élém. litt. Oeuv. t. X, p. 467, dans POUGENS | majesté |
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