Citation de RETZ extraite de l'article "supérieur, eure" du dictionnaire de français Littré
Que la tendresse pour madame sa femme, qu'il venait d'appeler une faiblesse, était une de ces sortes de choses que la politique condamne, mais que la morale justifie, parce qu'elles sont une marque de la bonté d'un coeur qui ne peut être supérieur à la politique, qu'il ne le soit en même temps à l'intérêt
(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. II, liv. III, p. 22, dans POUGENS)