Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "offrande" du dictionnaire de français Littré
Si je me dispense ici de m'étendre sur les belles et glorieuses vérités qu'on pourrait dire d'elle [Son Altesse le frère du roi], c'est par la juste appréhension que ces grandes idées ne fissent éclater encore davantage la bassesse de mon offrande
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Éc. des mar. Épître dédic.)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Je te viens contre tous faire offre de service |
les Fâch. III, 4 |
offre |
Mais d'où vient qu'un triste nuage Semble offusquer l'éclat de ses beaux yeux ? |
Psyché, II, 3 |
offusquer |
Monsieur Tartuffe ! oh ! oh ! n'est-ce rien qu'on propose ? |
Tart. II, 3 |
oh |
Oh ! oh ! je n'y prenais pas garde ; j'aimerais mieux avoir fait ce oh ! oh ! qu'un poëme épique |
Préc. 10 |
oh |
Plus, un trou-madame et un damier, avec un jeu de l'oie, renouvelé des Grecs, fort propres à passer le temps lorsqu'on n'a que faire |
l'Avare, II, 1 |
oie |
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