Citation de MARMONTEL extraite de l'article "coup" du dictionnaire de français Littré
Si Molière a rendu Tartuffe odieux au cinquième acte, c'est par la nécessité de donner le dernier coup de pinceau à son personnage
(Jean-François MARMONTEL, Élém. litt. t. VI, p. 141, dans POUGENS)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
On ne forme point les esprits avec des tableaux et des coups de théâtre |
Élém. litt. Oeuvres, t. IX, p. 16, dans POUGENS |
coup |
Ah ! c'est pour le coup qu'il faut se croire heureux en bêchant son jardin |
Bélis. II |
coup |
Un écrivain, qui a de l'oreille et assez d'art pour donner à son style le mouvement de la pensée ou du sentiment qu'il exprime, saura bien varier encore la coupe et le rhythme du vers |
Élém. litt. Oeuvres, t. X, p. 472, dans POUGENS |
coupe [1] |
Mon ami, lui dit le chevalier, j'ai autant d'envie que vous de me couper la gorge, car je suis outré de dépit ; mais ce ne sera pas avec vous, s'il vous plaît |
Contes mor. Lauret. |
couper |
Ménage, qui a dit tant de mots et qui en a dit si peu de bons, avoit pourtant raison de s'écrier à la représentation des Précieuses ridicules : courage, Molière ! voilà le bon comique |
Élém. de littér. t. VI, p. 171, dans POUGENS |
courage |
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