Citation de MARMONTEL extraite de l'article "coupe [1]" du dictionnaire de français Littré
Un écrivain, qui a de l'oreille et assez d'art pour donner à son style le mouvement de la pensée ou du sentiment qu'il exprime, saura bien varier encore la coupe et le rhythme du vers
(Jean-François MARMONTEL, Élém. litt. Oeuvres, t. X, p. 472, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Mon ami, lui dit le chevalier, j'ai autant d'envie que vous de me couper la gorge, car je suis outré de dépit ; mais ce ne sera pas avec vous, s'il vous plaît | Contes mor. Lauret. | couper |
Ménage, qui a dit tant de mots et qui en a dit si peu de bons, avoit pourtant raison de s'écrier à la représentation des Précieuses ridicules : courage, Molière ! voilà le bon comique | Élém. de littér. t. VI, p. 171, dans POUGENS | courage |
Ce trône était ombragé de lilas qui se courbaient en voûte | Contes mor. Mari sylphe. | courber |
Honnête homme ! et qui ne l'est pas ? C'est un mérite qui court les rues | Contes mor. Bon mari. | courir |
Rien dont le ciel pût se courroucer | Contes moraux, Ann. Lub. | courroucer |
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