Citation de MARMONTEL extraite de l'article "velouté, ée [1]" du dictionnaire de français Littré
Son teint à peine encore velouté du duvet de l'adolescence
(Jean-François MARMONTEL, Cont. Mor. Heureus.)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Nous eûmes le bonheur de voir le vénérable Massillon |
Mém. I |
vénérable |
J'avais pour Mme Necker la plus sincère vénération ; car je n'avais vu en elle que bonté, sagesse et vertu |
Mém. X |
vénération |
Boileau, critique peu sensible, mais judicieux et solide, ne fut pas le restaurateur du goût ; il en fut le vengeur et le conservateur |
Oeuv. t. IV, p. 417 |
vengeur, geresse |
Aussi voit-on dans ses premiers écrits [de J. J. Rousseau] une plénitude étonnante, une virilité parfaite ; et dans les miens, tout se ressent de la verdeur ou de la faiblesse d'un talent que l'étude et la réflexion n'ont pas assez longtemps mûri |
Mém. IV |
verdeur |
Vous, Nelson, vous, la vérité même, vous voulez que je me déguise, que j'en impose à votre ami ! |
Cont. mor. Amit. à l'épr. |
vérité |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Avec cet animal qui m'a semblé si doux : Il est velouté comme nous [rats] |
LA FONTAINE
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Fabl. VI, 5 |
velouté, ée [1] |
Trois larges bandes d'un beau noir velouté |
BUFFON
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Ois. t. VI, p. 118 |
velouté, ée [1] |
L'éclat velouté de la campagne, la tiède température de l'air....sont à Naples autant de séductions pour les sens |
CHATEAUBRIAND
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Mart. liv. |
velouté, ée [1] |
Qu'il n'est poison souvent moins redouté, Que le venin d'un fourbe velouté |
ROUSSEAU J.-B.
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Épît. I, 5 |
velouté, ée [1] |
Sur l'émail velouté d'une fraîche verdure |
DELILLE
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Jard. I |
velouté, ée [1] |