Citation de BOURDALOUE extraite de l'article "abreuver" du dictionnaire de français Littré
Tout le fiel dont on vous abreuva
(Louis BOURDALOUE, Pens. t. III, p. 362)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Ils ont des amis qu'ils vous mettront en tête, et, à l'abri de ces protecteurs, ils sont en état de repousser tous vos coups et de résister à tous vos efforts |
Pens. t. II, p. 264 |
abri |
Excès où l'on s'abrutit dans les sens, où l'on éteint toutes les lumières de sa raison |
Pensées, t. II, p. 268 |
abrutir |
Absent comme présent, il voyait le fond des coeurs |
Pensées, t. III, p. 381 |
absent, ente |
Faut-il l'exhorter beaucoup et le solliciter de penser à la personne dont il est épris ? que dis-je, peut-il même n'y penser pas et l'oublier ? Tout absente qu'elle est, il ne la perd, en quelque manière, jamais de vue, et elle lui est toujours présente |
t. II, p. 52 |
absent, ente |
Ce domaine absolu qui soumet à votre empire tous les êtres créés |
Pensées, t. II, p. 422 |
absolu, ue |
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