Citation de BOILEAU extraite de l'article "falloir" du dictionnaire de français Littré
Un discours que rien ne lie et n'embarrasse, marche et coule de soi-même, et il s'en faut peu qu'il n'aille quelquefois plus vite que la pensée même de l'orateur
(Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, Traité du subl. ch. 16)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| La famélique et honteuse lésine | Sat. x. | famélique |
| C'est ce roi si fameux dans la paix, dans la guerre | Poésies div. XVIII | fameux, euse |
| Se familiariser avec une langue étrangère | Disc. sur l'Ode. | familiariser |
| On verra par quels soins ta sage prévoyance Au fort de la famine entretint l'abondance | Épît. I | famine |
| On a vu mille fois des fanges méotides, Sortir des conquérants | Épît. I | fange |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "falloir" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Il nous faudrait mille personnes Pour éplucher tout ce canton | LA FONTAINE | Fabl. I, 8 | falloir |
| Il fallait un Aristote pour un Alexandre | ROLLIN | Hist. anc. Oeuv. t. VI, p. 601, dans POUGENS | falloir |
| Pour le petit nombre de ceux dont la tête est ferme, le goût délicat et le sens exquis, et qui comme vous, messieurs, comptent pour peu le ton, les gestes et le vain son des mots, il faut des choses, des pensées, des raisons | BUFFON | Disc. de récep. à l'Acad. | falloir |
| Il a fallu vingt mille ans pour la retraite des eaux, qui d'abord étaient élevées de deux mille toises au-dessus du niveau de nos mers actuelles | BUFFON | 4e époque, Oeuv. t. XII, p. 230, dans POUGENS | falloir |
| Il me faut qui m'estime, il me faut des amis à qui dans mes secrets tout accès soit permis | CHÉNIER | Élég. XI | falloir |