Près de la cuve qui bouillonne On voit s'égayer le vieillard |
BÉRANGER
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Champs. |
cuve |
Sitôt que leur vin fut cuvé, Et que le soleil fut levé |
SCARRON
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Virg. trav. dans LEROUX, Dict. comique. |
cuver |
Memnon cuve un peu son vin et il envoie chercher de l'argent |
VOLTAIRE
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Memnon. |
cuver |
De l'acétate de morphine, un grain dans une cuve se perd, en une cuillerée tue |
COURIER
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II, 381 |
acétate |
De l'acétate de morphine, un grain dans une cuve se perd, en une cuillerée tue |
COURIER
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Pamphl. des pamphl. |
morphine |
Surville, ayant cuvé son vin, mit en usage tout ce qu'il put pour satisfaire la Barre |
SAINT-SIMON
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150, 191 |
cuver |
Et déjà sur les bords de la cuve fumante S'élève en bouillonnant la vendange écumante |
DELILLE
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Géorg. II |
vendange |
Assez souvent d'un vin bien pris et mal cuvé Je vous ai vu le chef plus lourd qu'à l'ordinaire |
REGNARD
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Ménechmes, I, 2 |
cuvé, ée |
Peins-nous ses feux [de Tibère] qu'en secret tu redoutes, Quand sur ton sein il cuve son nectar |
BÉRANGER
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Octavie. |
cuver |
Pour donner le temps à la fécule bleue [de l'indigo] de se précipiter au fond de la cuve, où on la laisse se rasseoir jusqu'à ce que l'eau soit totalement éclaircie |
RAYNAL
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Hist. phil. VI, 17 |
rasseoir |
En fouillant à fond de cuve les terrasses de ce jardin, il trouva des coquillages fossiles, et il en trouva en si grande quantité, que son imagination exaltée ne vit plus que coquilles dans la nature |
ROUSSEAU
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Conf. VIII |
fouiller |
Les pommes de terre qu'on destine pour la table doivent être mises dans une cuve ou dans un tonneau, avec des feuilles sèches de noyer ou de chêne, par couches alternatives |
GENLIS
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Maison rustique, t. II, p. 462, dans POUGENS |
pomme |
Un faux monnayeur est un excellent artiste ; on pourrait l'employer dans une prison perpétuelle à travailler de son métier à la vraie monnaie de l'État, au lieu de le faire mourir dans une cuve d'eau bouillante, comme l'ordonnent Charles-Quint et François 1er |
VOLTAIRE
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Polit. et législ. Prix de la just. et de l'hum. VII. |
monnayeur |
Les seigneurs ecclésiastiques qui ne possédaient pas un champ clos, rendaient aussi la justice : si le plaideur avait demandé l'épreuve de l'eau froide, on lui liait les membres et on le plongeait nu dans la cuve ; si son corps ne surnageait pas, le jugement de Dieu décidait sa culpabilité ; dans le cas contraire, son innocence ; l'épreuve de l'eau chaude était plus cruelle : il fallait que le champion qui s'y soumettait n'éprouvât aucune douleur dans les flots de cette eau brûlante |
BARGINET
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Hist. du gouv. féod. II, 2 |
eau |