Citations correspondant à « lignage » : 13 citations trouvées dans le Littré
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Ces trois sont nées d'un lignage, Toutes d'un poil et d'un lanage BAUDOIN DE CONDÉ t. I, p. 72 lainage
Un auvernat fumeux qui, mêlé de lignage, Se vendait chez Crenet pour vin de l'Ermitage BOILEAU Sat. III ermitage
C'est que cet enragé sait déjà la façon Dont il faut dépêcher ceux de notre lignage SCARRON Jodelet, IV, 5 dépêcher
Parmi nous, les biens sont propres, acquêts ou conquêts..., libres, substitués ; du lignage ou non MONTESQUIEU Esp. VI, 1 lignage [2]
Imprudence, babil et sotte vanité, Et vaine curiosité Ont ensemble étroit parentage ; Ce sont enfants tous d'un lignage LA FONTAINE Fabl. X, 3 curiosité
Imprudence, babil et sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage ; Ce sont enfants tous d'un lignage LA FONTAINE Fabl. X, 3 lignage [2]
Impudence, babil et sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage, Ce sont enfants tous d'un lignage LA FONTAINE Fabl. x, 3 parentage
Un laquais effronté m'apporte un rouge bord D'un auvernat fumeux qui, mêlé de lignage, Se vendait chez Crenet pour vin de l'Ermitage BOILEAU Sat. III bord
Un valet effronté m'apporte un rouge bord D'un Auvernat fumeux, qui, mêlé de Lignage, Se vendait chez Crenet pour vin de l'Ermitage BOILEAU Sat. III lignage [3]
Un laquais effronté m'apporte un rouge-bord D'un auvernat fumeux, qui, mêlé de lignage [cru orléanais], Se vendait chez Crenet pour vin de l'Hermitage [cru du Rhône] BOILEAU Sat. III auvernat
Votre père, votre oncle, enfin tout le lignage Regorge de santé ; rien ne meurt, dont j'enrage HAUTEROCHE le Deuil, 1 regorger
Je remarquais tout l'étalage Et l'air de ces nouveaux venus [courtisans qui venaient saluer le soleil levant] ; Ce sont seigneurs de haut lignage ; Car ils descendent de Janus, Ayant tous un double visage VOLTAIRE Lett. Pr. roy. de Prusse, avril 1749 lignage [2]
Glocester : Vous auriez mis, dit-on, seigneur de haut lignage, Pour cent livres sterling tous vos aïeux en gage. - Tyrrel : C'est pure calomnie, et milord le sent bien, Vu que sur des aïeux un juif ne prête rien DELAVIGNE Enfants d'Édouard, II, 3 vu, ue