Oeuvres et citations de Jean Le Rond D'ALEMBERT

1544 citations de l'auteur Jean Le Rond D'ALEMBERT (Page 9 sur 39)

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Citation Œuvre Entrée
Je suis plutôt spectateur que patient dans cette galère où je me tiens les bras croisés Lett. au roi de Pr. 3 nov. 1780 galère
Je ne doute pas qu'il n'en soit de même de la fille de garde-robe qui a pris le nom de sa maîtresse, la femme de Czarowitz Lett. au roi de Prusse, 2 mars 1772 garde-robe
La petite diatribe que je vous envoie a été fort applaudie à la représentation ; mais gare la lecture Lett. à Voltaire, 24 janv. 1778 gare [1]
Il y a partout des gâte-métier et cet écrivain en est un Lett. à Voltaire, 24 janv. 1778 gâte-métier
Vous verrez dans mon discours un petit mot de correction fraternelle pour ce gentilhomme qui était présent, et qui, à ce que je crois, l'aura sentie, car je ne gâte pas ces messieurs Lett. à Voltaire, 2 janv. 1769 gâter
Il faut gémir sur le sort de l'humanité, qui ne permet pas qu'un seul homme ait à la fois tous les talents et toutes les vertus Lett. au roi de Pr. 17 août 1771 gémir
Tous les esprits justes, précis et clairs appartiennent à la géométrie Lett. au roi de Prusse, 6 mars 1771 géométrie
Votre Majesté traite un peu trop mal la géométrie transcendante ; j'avoue qu'elle n'est souvent, comme Votre Majesté le dit très bien, qu'un luxe de savants oisifs.... Lett. au roi de Pr. 29 janv. 1768 géométrie
Dans ce moment si remarquable, où vous jouez, sire, aux yeux de toute l'Europe, le rôle vraiment digne de vous, de défenseur de l'Allemagne et de protecteur du corps germanique Lett. au roi de Pr. 31 mars 1778 germanique
Ce que Votre Majesté me fait l'honneur de m'écrire sur la philosophie exaltée et exagérée des stoïciens, est sans comparaison plus à mon usage que cette philosophie gigantesque et imaginaire Lett. au roi de Pr. 21 juin 1782 gigantesque
Oui, en vérité, mon cher maître, notre théâtre est à la glace ; il n'y a dans la plupart de nos tragédies, ni vérité, ni chaleur, ni action, ni dialogue Lett. à Voltaire, 31 octobre 1761 glace
Cette inquisition enchaîne et glace tous les esprits Lett. au roi de Pr. 3 nov. 1780 glacer
L'abbé de St-Pierre est l'auteur d'une expression qui commence à prendre faveur ; c'est le mot de gloriole, si bien adapté à cette vanité puérile qui ne vit, si on peut parler de la sorte, que de la fumée la plus légère et la plus prompte à s'exhaler Éloge de l'abbé de St-Pierre gloriole
Sans préjudice des gourmades à poing fermé que vous leur appliquez si bien d'ailleurs Lett. à Volt. 14 juillet 1767 gourmade
Ce prince de Brunswick a été ici fort goûté et fort fêté de tout le monde, et il le mérite Lettre à Voltaire, 23 juin 1766 goûté, ée [1]
Que de vérité et de sagesse dans tout ce que Votre Majesté dit sur cette philosophie des stoïciens, plus grande que nature et si peu propre, avec ses grands mots et ses principes exagérés, à soulager ceux qui souffrent ! Lett. au roi de Pr. 9 août 1782 grand, ande
Le contrôleur général, à qui j'ai offert mes services à condition qu'ils seraient gratuits, me disait il y a quelques jours qu'il voudrait bien faire quelque chose pour moi Lett. au roi de Pr. 10 juill. 1775 gratuit, ite
Cet homme si gratuitement célébré par le philosophe de Ferney, était à la tête de la cabale Lett. au roi de Pr. 22 août 1772 gratuitement
À quoi servirait-il d'avoir tant d'honnêtes gens dans le ministère si les gredins triomphent encore ? Lett. à Volt. 28 août 1775 gredin, ine [1]
Les fanatiques grinceront les dents et ne pourront pas mordre Lett. à Voltaire, 13 mai 1759 grincer
Cette année 1762 me paraît grosse de grands événements politiques et civils Lett. à Voltaire, 31 mars 1762 gros, osse
Que deviendrait-elle si à la guerre de mer où elle est engagée, une guerre de terre se joignait encore ? Lett. au roi de Pr. 15 déc. 1780 guerre
Voilà comme ils vous habillent Lett. à Voltaire, 23 janv. 1757 habiller
Tous crient de concert haro sur le premier qui osera se moquer des sottises sur les quelles ils s'accordent Lett. à Volt. 22 fév. 1764 haro
Nous avons été très contents de vos remarques sur les Horaces ; beaucoup moins de celles de Cinna, qui nous ont paru faites à la hâte Lett. à Voltaire, 8 sept. 1761 hâte [1]
J'aime mieux lui parler de la hausse de nos fonds publics, qui est incroyable depuis que le nouveau contrôleur général est en place Lett. au roi de Pr. 27 mai 1775 hausse
Un ouvrage sur Homère qu'il [Villoison] prendrait la liberté de présenter à Votre Majesté, s'il ne craignait que le grec dont cet ouvrage est hérissé ne la fit reculer deux pas en arrière Lett. au roi de Pr. 25 avr. 1774 hérissé, ée
Notre poésie même me paraît ridicule sur ce point ; on rejette : j'ai vu mon père immolé à mes yeux ; et on admet : j'ai vu ma mère immolée à mes yeux, quoique l'hiatus du second vers soit beaucoup plus ridicule Lett. à Voltaire, 11 mars 1770 hiatus
Ne devrait-on pas dire que c'est une puérilité, et souvent un défaut contraire à la simplicité et à la naïveté du style, que le soin minutieux d'éviter les hiatus dans la prose comme le pratique l'abbé de la Bletterie ? ib. hiatus
Votre Majesté croira-t-elle qu'on a fait la défense la plus rigoureuse à tous les journalistes de dire un seul mot à l'honneur de M. de Voltaire ? Lett. au roi de Prusse, 1er juillet 1778 honneur
La part qui me revient de cette gloire ou de cette honte est si petite, que je ne cours pas après, et que j'en fais les honneurs à qui voudra Lett. au roi de Prusse, 16 mai 1772 honneur
Si vous le présentez à quelqu'un de nos sociniens honteux, gardez-vous bien de prononcer mon nom Lett. à Volt. 27 sept. 1759 honteux, euse
J'ose lui répéter [à Votre Majesté] que, plus elle le connaîtra [le comte de Crillon], plus elle l'en trouvera digne [de ses bontés], et qu'elle le distinguera facilement de cette horde de jeune noblesse française qui lui a donné à si juste titre si mauvaise opinion du reste Lett. au roi de Prusse, 25 avril 1774 horde
J'ai commencé par les croquignoles, je continuerai par les coups de houssine, ensuite viendront les coups de gaule, et je finirai par les coups de bâton Lett. à Voltaire, 27 avril 1765 houssine
Notre Salomon a de l'humeur, et je le crois mécontent ou malade Lett. à Voltaire, 27 décembre 1777 humeur [1]
Cet orateur s'appelle Boismont, et non pas Beaumont, et n'a de prêtre que ce qu'il en faut pour être apte et idoine à posséder des bénéfices Lett. au roi de Prusse, 30 juill. 1781 idoine
Vous ai-je dit ce que le roi de Prusse me mande dans une lettre du 8 de décembre ? " J'ai reçu un ambassadeur du général des ignatiens qui me presse pour me déclarer ouvertement le protecteur de cet ordre " Lett. à Volt. 9 janv. 1773 ignacien
Les imans et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu'on ne croit pour s'entendre ; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine Lett. au roi de Prusse, 14 juin 1771 iman
La première [la plus forte] des impertinences humaines Lett. au roi de Prusse, 17 sept. 1764 impertinence
Je fais scrupule de l'importuner trop souvent par mes lettres Lett. au roi de Prusse, 18 déc. 1769 importuner
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