Oeuvres et citations de Alfred DE MUSSET

137 citations de l'auteur Alfred DE MUSSET (Page 4 sur 4)

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Près du ruisseau quand nous marchions ensemble, Le soir, sur le sable argentin, Quand devant nous le blanc spectre du tremble De loin nous montrait le chemin la Nuit d'octobre. spectre
Cet homme ainsi reclus vivait en joie : à peine Le spleen le prenait-il quatre fois par semaine Mardoche, II spleen
Tu ne sais pas lire ; mais tu sais ce que disent ces bois et ces prairies, ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons, toute cette nature splendide de jeunesse On ne badine pas avec l'amour, III, 3 splendide
Ces pâles statues fabriquées par les nonnes, qui ont la tête à la place du coeur On ne badine pas avec l'amour, III, 5 statue
Mais l'espérance humaine est lasse d'être mère, Et, le sein tout meurtri d'avoir tant allaité, Elle fait son repos de sa stérilité Rolla. stérilité
Au lieu de surpris ou d'étonné, on dit stupéfié ; sentez-vous la nuance ? stupéfié ! non pas stupéfait, prenez-y garde ; stupéfait est pauvre, rebattu ; fi ! ne m'en parlez pas, c'est un drôle capable de se laisser trouver dans un dictionnaire Lett. de Dupuis et Cotonet, 1836 stupéfié, ée
Quiconque aima jamais porte une cicatrice ; Chacun l'a dans le sein, toujours prête à s'ouvrir ; Chacun la garde en soi, cher et secret supplice, Et mieux il est frappé, moins il en veut guérir Poésies nouv. Lett. à Lamartine supplice
Non, non [ô mort], tu sais choisir ; par instants sur la terre Tu peux sembler commettre, il est vrai, quelque erreur ; Ta main n'est pas toujours bien sûre.... Poésies nouv. 13 juill. sûr, ûre
À défaut de regret, qui ne l'a respecté [le duc d'Orléans, mort en 1842] ? Faites parler la foule, et la haine et l'envie : Ni tache sur son front, ni faute dans sa vie ; Nul n'a laissé plus pur le nom qu'il a porté Poésies nouv. 13 juill. tache
.... Sur la création Hercule promenait l'éternelle justice, Sous son manteau sanglant taillé dans un lion Rolla. taillé, ée
L'homme de Waterloo nous dira-t-il sa vie, Et ce qu'il a fauché du troupeau des humains, Avant que l'envoyé de la nuit éternelle Vînt sur son tertre vert l'abattre d'un coup d'aile la Nuit de mai. tertre
Chanterons-nous l'espoir, la tristesse ou la joie ? Tremperons-nous de sang les bataillons d'acier ? Nuit de mai. tremper
L'homme de Waterloo nous dira-t-il sa vie, Et ce qu'il a fauché du troupeau des humains ? la Nuit de mai. troupeau
La valse d'un coup d'aile a détrôné la danse à la mi-carême, x. valse
À ce bruit.... La valseuse se livre avec plus de langueur à la mi-carême, IV valseur, euse
Parlons-nous de bonheur, de gloire et de folie, Et que ce soit un rêve, et le premier venu ! Nuit de mai. venu, ue
Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire ; Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère Poés. nouv. Nuit de décembre. vêtu, ue
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