Oeuvres et citations de Alfred DE MUSSET

137 citations de l'auteur Alfred DE MUSSET (Page 2 sur 4)

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Citation Œuvre Entrée
Partout où, le long des chemins, J'ai posé mon front dans mes mains, Et sangloté comme une femme... Poésies nouv. Nuit de décembre front
Voyez-la, le matin, qui gazouille et sautille ; Son coeur est un oiseau, sa bouche est une fleur ; C'est là qu'il faut saisir cette indolente fille Poésies nouv. Idylle. gazouiller
D'une voix plus modeste, au hasard inspirée, Nous, comme le grillon, chantons au coin du feu Poésies nouv. Idylle. grillon
Que ce Dieu qui m'entend me garde d'un blasphème ! Mais je ne comprends rien à ce lâche destin [la mort du duc d'Orléans] Qui va sur le pavé briser un diadème, Parce qu'un postillon n'a pas sa guide en main Poésies nouv. 13 juillet. guide [2]
Il secouait sous son manteau Un haillon de pourpre en lambeau, Sur sa tête un myrte stérile Poés. nouv. Nuit de décembre. haillon
C'était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune, Comme un point sur un i Ball. à la lune i
Ce qu'il sait, ce qu'il voit des choses de la vie, Tout le porte, l'entraîne à son but idéal La coupe et les lèvres, IV, 1 idéal, ale
Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleurs ?... Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, Est-ce toi qui l'as dit ? Poésies nouv. Souvenir. immortellement
Lui [Byron], le grand inspiré de la mélancolie, Qui, las d'être envié, se changeait en martyr Poésies nouv. Lett. à Lamartine. inspiré, ée
Ivre de volupté, de tendresse et d'horreur Poés. nouv. la Nuit de mai ivre
Comme un soldat vaincu brise ses javelots Poésies, à Ulric Guttinguer javelot
Et jamais fils d'Adam, sous la sainte lumière, N'a de l'est au couchant promené sur la terre Un plus large mépris des peuples et des rois Rolla. large
C'est ta jeunesse et tes charmes Qui m'ont fait désespérer, Et, si je doute des larmes, C'est que je t'ai vu pleurer Nuit d'octobre. larme
Une larme en dit plus que tu n'en pourrais dire ; Une larme a son prix, c'est la soeur d'un sourire Idylle. larme
À l'âge où l'on est libertin, Pour boire un toast en un festin, Un jour je soulevai mon verre Poés. nouv. Nuit de décembre. libertin, ine
Loin de moi les vains mots, les frivoles pensées, Des vulgaires douleurs linceul accoutumé, Que viennent étaler sur leurs amours passées Ceux qui n'ont point aimé ! Poés. nouv. Souv. linceul
...Du nord au midi, sur la création Hercule promenait l'éternelle justice Sous son manteau sanglant, taillé dans un lion Rolla. lion, onne
C'est ma maîtresse, ma lionne l'Andalouse. lion, onne
Son visage était triste et beau ; à la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire Poés. nouv. Nuit de décembre. lire
J'ai dit à mon coeur, à mon faible coeur : N'est-ce point assez d'aimer sa maîtresse ? Chanson. maîtresse
Rien que pour toucher sa mantille, De par tous les saints de Castille, On se ferait rompre les os l'Andalouse. mantille
Ulric, nul oeil des mers n'a mesuré l'abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots Poésies. matelot
.... dans les eaux où le cygne se mire Nuit de mai. mirer
Un pâle pamphlétaire.... S'en vient, tout grelottant d'envie et d'impuissance, Sur le front du génie insulter l'espérance, Et mordre le laurier que son souffle a sali Nuit de mai. mordre
Ne sont-ce pas des morts, et des morts effroyables, Que tant de changements d'êtres si variables, Qui se disent toujours fatigués d'espérer ? Poésies nouv. Lett. à Lamartine. mort [3]
Partout où j'ai, comme un mouton, Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuer mon âme Poésies nouv. Nuit de décembre mouton
Muse, sois donc sans crainte ; au souffle qui t'inspire Nous pouvons sans péril tous deux nous confier ; Il est doux de pleurer, il est doux de sourire Au souvenir des maux qu'on pourrait oublier Nuit d'octobre. muse [1]
Est-ce toi dont la voix m'appelle, Ô ma pauvre muse ! est-ce toi ? Ô ma fleur, ô mon immortelle, Seul être pudique et fidèle Où vive encor l'amour de moi Nuit de mai. muse [1]
La rose, vierge encor, se referme jalouse Sur le frelon nacré qu'elle enivre en mourant la Nuit de mai. nacré, ée
Où Cologne et Strasbourg, Notre-Dame et Saint-Pierre, S'agenouillant au loin dans leurs robes de pierre, Sur l'orgue universel des peuples prosternés Entonnaient l'hosanna des siècles nouveau-nés Rolla. né, née
Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir Nuit de décembre. noir, oire
Poëte, prends ton luth ; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile odorant Nuit de mai. nuit
Un an après, il était nuit, J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père Nuit de décembre. nuit
[à son livre] Va-t'en, pauvre oiseau passager, Que Dieu te mène à ton adresse ! Poésies, au lecteur. passager, ère [2]
C'est comme la patrie, vieux mot assez usé ; on dit le pays ; voyez nos orateurs, ils n'y manqueraient pas pour dix écus Lettres de Dupuis et Cotonet, 1836 pays
Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, Ses petits affamés courent sur le rivage.... Pour toute nourriture il apporte son coeur Nuit de mai. pélican
Un an après, il était nuit, J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père Poés. nouv. Nuit de décembre père
Je hais comme la mort l'état de plagiaire la Coupe et les Lèvres, dédicace plagiaire
Larmes du coeur, par le coeur dévorées, Et que les yeux qui les avaient pleurées Ne reconnaîtront plus demain Poésies nouv. Nuit de décembre pleurer
Poëte, prends ton luth ; c'est moi [la Muse], ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux Nuit de mai. poëte
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