Citation de PELLISSON extraite de l'article "plier" du dictionnaire de français Littré
La cavalerie ennemie, fondant sur la nôtre, la fit plier
(Paul PELLISSON, Lett. hist. t. II, p. 408, dans POUGENS)
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| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Il est certain qu'en demeurant leurs mains dans leurs poches, ils pouvaient tenir encore cinq ou six jours, sans être exclus d'une composition honnête | Lett. hist. t. III, p. 401, dans POUGENS | poche |
| Il [le roi] demanda en s'habillant : le jour point-il déjà ? puis me fit l'honneur de s'adresser à moi, pour me demander s'il fallait dire point-il ou pointe-t-il ? | Lett. hist. t. I, p. 89, dans POUGENS | poindre |
| Il y eut des coups de poing donnés, même du sang répandu | Lett. hist. t. III, p. 114, dans POUGENS | poing |
| Les courtisans étaient, au retour, horriblement fatigués, lui [le roi] point du tout | Lett. hist. t. III, p. 117 | point [2] |
| Qu'il [Maynard] s'était adonné à un genre d'écrire auquel il n'était pas propre, voulant dire l'épigramme, et qu'il n'y réussirait pas parce qu'il n'avait pas assez de pointe | Hist. de l'Acad. IV, Maynard | pointe |
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