Citation de GENLIS extraite de l'article "poitrine" du dictionnaire de français Littré
La maréchale de Rantzau, attaquée de la poitrine, touchait au terme de sa vie
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Mme de Maintenon, t. I, p. 173, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Une politesse froide, une conversation pleine de solidité | Veillées du château t. III, p. 41, dans POUGENS | politesse |
Les pommes de terre qu'on destine pour la table doivent être mises dans une cuve ou dans un tonneau, avec des feuilles sèches de noyer ou de chêne, par couches alternatives | Maison rustique, t. II, p. 462, dans POUGENS | pomme |
À dix heures elle s'habilla, fit fermer sa porte, et ne vit que le roi, avec qui elle passa tout le reste de la matinée | Mme de Maintenon, t. I, p. 235, dans POUGENS | porte [1] |
Je désire vivement voir le monde et le connaître ; mais j'y porterai bien de la gaucherie et de la timidité | Veillées du chât. t. III, p. 36, dans POUGENS | porter [1] |
Mlle Pulchérie lui avait assuré que le feu lui portait à la tête, et qu'elle voulait s'accoutumer à s'en passer | Veillées du chât. t. II, p. 531, dans POUGENS | porter [1] |
Plus de citations de GENLIS... |